@Fergus « Cette affaire, aussi consternante que scandaleuse, ne peut en aucun cas être retenue dans le cadre d’un débat sur l’euthanasie. » Pas tout à fait d’accord avec vous ! On commence par « progressisme compassionnel » par lever un des deux tabous majeurs - l’inceste et le meurtre — structurant depuis les origines toute société humaine puis, au départ envisagé comme exceptionnel, le passage à l’acte se banalise (très rapidement, en fait !),
... pour au final aboutir dans le pire des cas à des situations comme celle-ci - marquées je vous le concède du sceau de l’incompétence et d’un amateurisme des plus extrêmes.
@cevennevive « Et heureusement qu’il n’a pas procréé... » Au stade d’immaturité et de narcissisme exacerbé atteint par le mignon de Jean-Migitte, aucun risque tant qu’il ne s’avise pas de se faire cloner !
@Fergus "Et l’un, Brel, avait un besoin compulsif de fric qui l’amenait à publier
des albums non aboutis où des chefs d’oeuvre côtoyaient des chansons
purement « alimentaires » tandis que l’autre, Brassens, avait des
besoins limités ...« Vrai que Brel était un écorché vif mais opposer sa fougue au perfectionnisme de Brassens me paraît d’autant plus vain que, chacun à sa manière, avec son caractère et dans son propre style, ils ont tous deux produits des chefs d’œuvre ! Perso, je me refuse à devoir choisir entre ces deux géants de la poésie et de la chanson française !
Hi, hi, ... C’est dans le ventre de ma mère que, du temps où Bruxelles brusselait et où il n’était pas encore monté à Paris, j’ai eu la chance d’assister à un concert de Jacques Brel. Ma maman s’y était rendu avec une voisine et était morte de rire rien qu’à voir la tête de cette dernière quand il a interprété »Les Flamandes".