Samson

@Jonas
"Ce n’est pas vous qui déciderez, mais les réseaux maçonniques qui jugeront, 6 mois avant les élections, si le candidat est présentable ou non."

Réseaux maçonniques, je ne sais pas, mais pour ce qui est du CAC-40, leur candidat — particulièrement réputé pour son élégance avec la gent féminine — est déjà connu.

« Connaissez-vous le « style Harajuku » ? »

Ben non ! Appartenant encore à la génération des fans de bandes dessinées pré-mangas — ce qui, si même « le temps ne fait rien à l’affaire », permet aisément de me classer au rang des vieux cons — je ne connaissais pas !

Pas mal, et des plus créatifs !

Merci pour le partage, en vous présentant mes cordiales salutations ! 

@gruni
« Les femmes jouent aussi rugby et je ne sais pas ce qu’en pense Rousseau. »

Hors slogans débiles régulièrement débités sur les réseaux sociaux, Sandrin Roussette penserait donc !?!
Merci infiniment pour ce scoop !   

Bonjour @Gruni

« Contrairement aux joueurs de l’ovale, le respect de l’autorité se perd, la désobéissance civile devient la règle comme à Sainte-Soline avec les sauveurs auto-proclamés de la planète. »

Climatique ou banlieusarde, la désobéissance civile n’est en Macronie que très anecdotique en regard de l’insatisfaction et de la colère croissante face à l’impéritie des managers de la start-up France.

Est-ce le respect de l’autorité qui se perd, ou est-ce plus prosaïquement le refus croissant de se soumettre à un pouvoir qui s’en voit toujours plus dépourvu - pour rappel, confié en France à un très immature psychopathe et cocaïnomane notoire, aux U$A à un escroc sénile et plus même apte au contrôle de ses propres sphincters - qui s’amplifie et s’accroît en proportion même de la perte d’autorité de ceux qu’on peine encore à qualifier de « gouvernants » ???

Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! 

@Samson
Fille du garde-chasse d’un châtelain flamand et comprenant pour sa part le français, une de mes arrière-grand-mères avait notamment retenu de sa jeunesse avant-guerre ce mémorable propos particulièrement choquant tenu en français par l’instituteur à l’attention du châtelain - tous deux partenaires au bridge avec le curé tous les dimanches après-midi - devant ses élèves flamands : « Tenez les pauvres et je les tiendrai bêtes ! »

S’il semble bien que carences et maltraitances y suppléant aisément, la nouvelle aristocratie mondialiste s’affranchisse désormais aisément de toute complicité avec le monde enseignant ou, par ces temps frappés du sceau du nihilisme consumériste, de toute complicité avec une quelconque autorité spirituelle, son programme n’en reste pas moins fort basiquement le même : l’asservissement, qui se concilie assez mal avec l’apprentissage de l’esprit critique, des « gens qui ne sont rien » !