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Rage

Rage

32 ans, originaire de Lyon et vivant à Poitiers
Ingénieur territorial en Région Poitou-Charentes (chez une certaine Ségolène R), diplômé du DESS Aménagement de Lyon III, je m'intéresse particulièrement aux questions qui animent notre société. 
"Spécialiste" des questions liées aux transports et à l'urbanisme, ma vision est forgée par de multiples expériences en entreprises et une curiosité personnelle : j'essaye modestement d'analyser les décisions et faits majeurs de notre monde dans leur globalité.
Je pense que mes propositions peuvent apporter des éléments intéressant pour ce type d'initiative louable qu'est Agoravox !
Contactez moi : [email protected] ou 06.24.21.40.37

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  • Premier article le 20/10/2005
  • Modérateur depuis le 07/11/2005
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Derniers commentaires



  • Rage Rage 18 septembre 2012 12:09

    Bonjour,

    Le retour sur les « licenciements », je l’attendais :
    C’est en réalité un faux argument pour 2 raisons majeures :
    1 : ce sont pour partie des fonctionnaires, donc rien n’empêche de les affecter à d’autres missions plus concrètes ou efficaces.
    2 : peut-on arguer qu’il vaut mieux, à ce niveau là qui plus est, avoir des milliers de cadres sup’ avec un salaire fort mais sans efficacité, plutôt que d’avoir des chômeurs ? Si on suit cette logique, alors il vaudrait mieux avoir 4 millions de contrats aidés plutôt que 4 millions de chômeurs, ce qui induit alors qu’on aurait fait le choix de vivre qu’avec des emplois subventionnés en creusant la dette du pays !

    Ca ne tient pas. On ne recrute pas des agents pour « distribuer des salaires », et c’est d’ailleurs bien le problème dans les hautes sphères qui plus est lorsque les agents en question sont des directeurs ou des collaborateurs fort bien payés.

    En résumé, peut-on d’un côté demander plus de taxes (même justes) et de l’autre continuer à dépenser sans regarder l’utilité publique de la dépense ?
    A ce compte-là, même avec 60% de taxes et en taxant les riches à mort, même en étant juste, on restera néanmoins dans la merde, parce qu’il n’y a pas d’issues sans toucher AUSSI aux dépenses.

    Et là, il ne s’agit pas tant de « casser du fonctionnaire », mais bel et bien de « casser du privilégié », construit depuis 30 ans sur la création incontrolée de structures diverses et variées où certains cumulent, fonctions, avantages et rémunérations au détriment de l’Etat et de l’intérêt général, en tous cas dans des mesures où le ratio productivité/coût pour la société est largement négatif.

    Je le redis, il y a là, à mon sens, près de 60 milliards de gisement d’économies, et ce, sans toucher au volume des fonctionnaires mais bel et bien à l’organisation et au contenu de leurs missions et de celles de leurs encadrants.



  • Rage Rage 9 septembre 2012 09:02

    Bonjour,

    Effectivement j’ai fait « long » sous format dossier.
    En même temps, en rester à supprimer pour supprimer ce serait trop facile et surtout contre-productif.
    En l’occurrence, pour ceux qui n’ont pas lu, je ne dis pas de « sabrer » du fonctionnaire, je dis bien au contraire de valoriser leur action. Et pour cela, je dis non seulement de supprimer des élus, de « fusionner » ce qui doit l’être et de redéployer des postes d’encadrement public vers des postes « concrets ».
    Enfin, je dis que faire tout ça, rien que dans la FPT (il y a des similitudes avec la FPE et la FPH) viendrait à faire mieux pour un coût réduit.

    Une part non négligeable d’élus et de haut fonctionnaire vivent dans une bulle. Cette bulle, ce n’est pas tant dire qu’ils ne travaillent pas, mais plutôt que « structurellement » leur action revient à brasser de l’air et à générer des pertes d’énergies, d’argent et de temps.

    Je ne suis pas certain que l’on puisse encore s’accorder ce luxe avec 3M de chômeurs et notre dette.

    Cordialement,



  • Rage Rage 24 août 2012 11:59

    @poubellelavie
    Votre commentaire est intéressant à plus d’un titre.
    C’est vrai que l’Etat a besoin du secteur 2 et qu’il a minoré les prélèvements sur le secteur 1. Et même si un patient peut choisir de payer cher, cela n’empêche pas qu’il existe des excès, notamment quand le choix n’existe pas (cas des spécialistes) et que cela a été structurellement généré.

    Le numérus clausus est clairement LE levier à modifier. Et comme vous le dites, il eut été plus logique de changer les règles du jeu pour les 1ères années que pour les 6èmes années, avec par exemple plus de place (droit) mais en face une obligation géographique (devoir).

    Dans l’article, et même les propositions je n’évoque pas tout en solution. Mais que dire aussi du serpent de mer du dossier médical unique sur carte vitale ? Que dire sur les ARS dont l’utilité et les méthodes même de travail sont « contestables » ? Que dire sur les liens dangereux entre ministère et labbos ? Bref, c’est un vrai dossier, lourd, et il faudra faire des choix.

    J’attends vraiment de voir.



  • Rage Rage 30 mars 2012 11:42

    Bonjour,

    Vous avez précisément raison. La suffisance et le côté trop « intello » sont de vrais problèmes pour le PS, les verts et le Modem.

    C’est justement parce qu’une large part de population n’est pas informée, qu’elle ne juge et vote que sur ce que les médias et la TV veulent bien « sélectionner » qu’il est nécessaire de forcer le trait en n’étant plus dans la tendresse mais dans le conflit.

    La raison est simple : un discours d’intello, même juste et précis, fera moins le buzz qu’une bonne vieille phrase assassine. Ca, la droite l’a parfaitement pigé.
    La preuve : B.Chirac avec sa petite phrase, Sarkozy hier qui se la joue « proximité » dans un bar, lui qui est plus habitué aux yachts et suites de luxe au Hilton...

    C’est précisément cette « distance » avec le péquin de base qui fait mal à la gauche.
    Ségolène était allé dans les cités. C’était bien. Les marchés ? C’est connu. Les terrains de foot ? Déjà moins courant. Hollande manque de cette image « clichée » et de cette bonne vieille phrase qui assoit la confiance.

    Il y a de l’irrationnel dans une campagne présidentielle. Les Français en oublie alors le coeur de leurs préoccupations pour focaliser sur des conneries. C’est justement là où il faut être bon : les conneries.

    En l’occurence, je confirme que Hollande devrait attaquer. Qu’il devrait aller sur un stade de foot ou dans un bar et balancer une bonne vieille vanne qui fera à coup sur la une du 20h du type : « Il y a ceux qui boivent des cafés dans les bars, et ceux qui boivent du champagne sur les yachts : moi j’ai choisi de partager plus que le café avec les français ».

    Ou même d’attaquer frontal : « il y a ceux qui racontent qu’ils sont le changement après 5 années de bilan catastrophique et creusent, et ceux qui ont un programme pour faire le changement. Moi j’ai le revolver chargé pour redresser la France et faire ce changement ».

    Bref, M.hollande et autres « conseillers » : de grace, ne soyez pas suffisant et prenez l’initiative de l’attaque !



  • Rage Rage 30 mars 2012 10:52

    J’ajoute : pour la photo ce n’est pas moi, c’est le site...

    D’ailleurs, je me serai plutôt contenté d’une image de l’élysée ou des 10 candidats... voire même encore d’une courbe montrant très clairement la hausse des déficits et de la dette depuis 2007.

    Avis aux modérateurs !

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