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perlseb

Nous avons tous 2 parents, 4 grands-parents, ..., environ 1 million (2 puissance 20) d’ascendants à la 20ème génération : nous sommes tous frères mais nous avons aussi, inévitablement, quelques criminels parmi nos ancêtres.

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  • perlseb 1er mars 21:59

    @ZenZoe
    Il y a un problème un peu insoluble si les parents sont au courant, consentants, voire s’ils sont rémunérés par le pédophile.
    Si on donne plus de pouvoir à la société sur les enfants que leurs propres parents, on risque d’avoir un système comme en ex-RDA où les enfants dénoncent leurs propres parents.
    Et si les parents sont au-dessus de la société pour décider du sort de leurs enfants, alors on n’empêchera jamais certains parents d’exploiter leurs propres enfants.
    Bref, quand les parents se foutent de leurs gosses, il n’y a jamais de solution acceptable. L’enfant se retrouve coincé entre ses parents complices de son bourreau : comment faire intervenir la justice, sinon bien des années après, quand l’enfant, devenu adulte, réussit à déculpabiliser ?



  • perlseb 27 février 20:04

    @Tolzan
    Effectivement. La Russie ne peut pas perdre, même contre toutes les nations réunies. Au pire, c’est la Terre qui sera détruite. Quand on pense qu’il aurait suffit de faire respecter les accords de Minsk... Nos politiques sont bien fous.



  • perlseb 19 février 15:23

    Il y a bien des gens de droite et des gens de gauche.

    Les gens de droite sont idéalistes, ils s’imaginent qu’en étant souverainiste (et en se libérant des chaines infâmes de l’Europe), l’exploitation de l’homme par l’homme va disparaitre en France.

    Les gens de gauche sont idéalistes, ils comprennent bien que le capitalisme (qui légalise l’exploitation de l’homme par l’homme) est le fond de tous nos problèmes, mais ils ne comprennent pas que l’immense majorité de la population veut conserver l’espoir de vivre sur le dos des autres (« on ne sait jamais, un jour, je serai peut-être riche... »).

    Ceux qui dirigent le monde ont réussi à faire aimer à leur troupeau les 2 notions (parfaitement abstraites : il faut du papier et de l’imagination pour leur donner vie) qui sont à l’origine de leur esclavage : la monnaie et la propriété privée. Et on ne peut pas convaincre ceux qui sont viscéralement attachés à leurs chaines, autant pisser dans un violon.



  • perlseb 31 janvier 12:26

    Libre, égalitaire, [...] notre société [...]

    Si l’on part des droits de l’homme, de ses principes jamais appliqués oui. Dans les faits, la soumission est ultra-violente (ce qui est l’exact contraire de la liberté). Quant aux inégalités, entre des milliardaires qui possèdent le monde (qui ont les moyens de corrompre tous les « chefs » de tous les pays en même temps) et ceux qui ne sont rien (ou qui tendent à l’être), elles n’ont jamais été aussi élevées.

    Il y a beaucoup de religieux qui veulent un retour de la religion mais ce sont plutôt les religions monothéistes, n’en déplaise à Emmanuel Todd, avec leur dieu unique tout puissant devant lequel il faut se prosterner, qui sont à l’origine de l’acceptation d’un état de soumission irrationnel, conduisant à des inégalités tout aussi aberrantes.

    La seule chose qui manque dans la société humaine, c’est la morale (l’éthique) et elle n’est pas religieuse, elle est universelle (règle d’or) : on ne peut vivre en communauté sans respecter ses proches et pourtant nos règles économiques et sociales permettent d’abuser des autres en toute légalité. Si on ne respecte pas la règle d’or, alors l’homme n’est qu’un animal assisté par de la technique : aux périodes plutôt calmes ou les déséquilibres inacceptables (mais légaux) se forment, succèdent des graves crises violentes nécessaires à un réajustement, impossible pacifiquement.

    Dans notre histoire récente, c’est encore le chômage (comme avant la 2ème guerre mondiale), normalement interdit par nos droits de l’homme avec le droit au travail, qui a permis une soumission délirante et a exacerbé l’absence de morale dans tous les corps de métier. Les journalistes ne sont plus des journalistes car peur de se faire virer, les médecins soignent selon des consignes gouvernementales pour ne pas être radiés par leur conseil de l’ordre, les juristes acceptent que la constitution ne soit pas respectée de manière élémentaire, les paysans doivent mettre des pesticides pour pouvoir continuer à vendre, les profs enseignent à une horde de futurs chômeurs forcément démotivés, ... la liste est sans fin. Le travail, son sens, a été détruit, la société a été rendue nihiliste par le chômage, ou par sa peur plus exactement. On peut parler d’argent mais on peut raisonner sans : si on refuse vos services (et qu’on vous empêche de vous rendre utile car les possesseurs des biens de production peuvent se passer de vous) alors le mal que l’on vous fait est profond, c’est un réel bannissement que tout individu un peu sociable cherchera à éviter (quitte à se soumettre sans limite pour être « engagé », intégré).

    Contrairement aux anciennes crises ou seule la tête était corrompue, on a mouillé tout le monde dans celle-ci, et ceux qui ont refuse ce système ont été scrupuleusement mis à l’écart, au ban de cette société où l’immoralité a été cultivée.



  • perlseb 23 janvier 12:13

    Pour comprendre les choses, il faut penser hors du bocal. Comme tout le monde, vous êtes persuadé que la monnaie est indispensable, est un progrès car vous avez été éduqué avec.

    Mais vous dites quelque chose de très intéressant. Dans les petites communautés (avant l’invention de la monnaie), il était facile de détecter les tire-au-flanc. La monnaie n’a pas été créée pour limiter leur existence, elle a été créée par ces tire-au-flanc. On aurait pu ne rien inventer et juger les biens par le nombre d’heures de travail qu’ils ont coûté. Mais il est bien plus avantageux d’une part de créer une monnaie à partir du vent (et de prétendre qu’elle vaut des heures de travail) et d’autre part d’essayer de conserver au maximum le secret réel du coût (en heures) des biens que vous produisez (ou simplement échangez) pour arnaquer au maximum le client (marchandage, souk arabe, déplacement de biens selon leur rareté et arnaque des 2 parties).

    Donc l’argent n’a pas permis d’éviter l’absence de contre-partie dans les échanges, il l’a instituée, aidé par des règles de propriété privée abusives. Maintenant, ceux qui ont l’argent ne font rien, décident de tout et se font encore plus d’argent sur le travail et les échanges des autres, comme avant chaque grave crise que ce système basé sur le vol ne peut que générer.

    On recommence toujours la même partie de Monopoly et à la fin du jeu, le gagnant, qui n’a pas conscience de ses excès, est pendu (à moins que l’IA permette au gagnant de la partie de se débarrasser des autres, devenus inutiles...). Après la pendaison du gagnant, on recommence une nouvelle partie, avec les mêmes règles, pensant obtenir un résultat différent (seul le redémarrage de la partie donne l’illusion d’une nouvelle justice, mais avec le temps, ...).

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