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PascalDemoriane

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Tableau de bord

  • Premier article le 05/07/2021
  • Modérateur depuis le 14/04/2022
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Derniers commentaires



  • PascalDemoriane 16 juillet 2021 13:28

    @l’auteur

    Au passage, j’en profite pour remercierM. Marc Dugois, que je lis avidement, de m’avoir compliqué et enrichit la tâche dans mon modeste essais de synthèse tâtonnante entre théorie de la valeur de Marx et énergie au sens de la thermo-dynamique (Carnot-Claudius et consort) dont il (Marx) n’a pas connu les aboutissements de son temps, on l’oublie souvent. C’eut put changer la marche de l’histoire !. L’auteur, que je crois être peu marxiste, sera peut-être ravi d’avoir collaboré aux « études marxiennes » et à la critique du concept même d’économie politique... Car oui les mensonges systémiques sont toujours justifiés par une quantification fallacieuse. le mythe covidien, dépourvu de base sociométrique sérieuse et honnête, nous l’illustre... mais n’est-ce pas le principe même de la valorisation, en amont même de sa traduction monétaire ?

    @infrason

    « Alors comment faire pour qu’on ne s’affronte pas et qu’on retombe, sur ce site, dans le tous contre tous ? Mince... »
    Même thème de la valeur, sous l’angle psycho et sociologique cette fois, mais qui reste toujours sous-tendue d’une quantification fallacieuse, fut-elle inconsciente.
    La puissance du fétiche est vertigineuse !



  • PascalDemoriane 16 juillet 2021 12:07

    Amusant ! Puisqu’il s’agit de chatouiller les mouches par loisir, allons au fond par amour de la langue (sans jeu de mots gras).

    Effectivement, si la dénomination du jardin vise le fait historique, justifiée
    par la présence d’un monument allégorique sur ce thème,
    c’est « Jardin de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 ».

    Mais en l’absence de monument ou stèle, statue historique, si elle réfère au concept abstrait associant « droit » à « humain » plutôt qu’à « Homme » pour y inclure la « Femme »,
    c’est « Jardin des Droits de... » et là crac ! çà coince après de... ! car oui, le droit d’aujourd’hui prescrit imprudement « droits humains », ce qui est ambigü car :

    1- soit l’adjectif substantivé « humain » est racourci du substantif « être humain »,
    ce qui donnerait « Jardin des droits de l’être humain »
    ou bien « Jardin des droits des êtres humains » (tous les droits de tous les êtres...),
    pluriel non exhaustif qui ne plaira pas à la doxa car celà ouvre à la notion de pluralité des droits selon la pluralité des êtres en contredisant l’universalisme maçonique visé.

    2- soit l’adjectif « humain » qualifie le droit, et alors c’est le droit qui serait humain, et donc ce serait l’être qui serait humanisé par le droit humanisant, pas par lui-même de lui-même, génésiquement. L’humain sans droit ne serait rien !
    ce qui donne « Jardin des droits humains de l’être »
    ou pire « Jardin de l’être par ses droits humains » (çà frise l’absurde !)

    Rigolez pas çà montre à quel point le concept est bancal, les femmes n’y sont pas rien, c’est juste que le droit bricole des énoncés moderne foireux sur une base linguitique logique ancienne, et que la substantivation abusive ne vaut pas concept cohérent. Et je doute que tous les êtres humains de cette planète se pensent des « produits du droit ».

    Bon, recapitulons :

    - « Jardin [du monument] de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 » çà colle si monument il y a.
    - « Jardin des droits de l’être humain », bof
    - « Jardin des droits humains de l’être », pouah !
    finalement, ils retiennent :
    - « Jardin des droits humains », ce qui ne veut plus rien dire !
    Car dénommer arbitrairement un jardin « des droits, du bien, de la vérité, ou de mon cul sur la commode » est une absurdité puisque ce la dit tout du crétin qui le baptise mais rien du lieu baptisé, de son histoire, des mémoires qu’on y occulte. L’auteur a bien raison !



  • PascalDemoriane 12 juillet 2021 16:30

    Les excursions extraplanétaires d’oisifs en quête de coûteux frissons ne devraient pas outremesure faire l’objet de reproche. C’est leur retour sur terre qui peut faire motif de graves regrets. Quelqu’un disait que les touristes seraient mieux chez eux que dans un monde qui serait mieux sans eux.



  • PascalDemoriane 12 juillet 2021 09:52

    Article passionnant dans la continuité souvent ardue mais dense de ceux de l’auteur. Deux questions pour lui en guise de gratitude.

    1. Article-programme panoramique qui ouvre un chantier perlé de multiples ateliers pointus.
    Dont celui suggéré au point 4 que j’explore depuis 2 ans dans les grandes lignes,
    à savoir le double point de vues croisées :
    - linguistique de la biologie, génétique, immunologie
    et inversement, réciproquement, dialectiquement
    - biologique de la linguistique, psycho-linguistique, psycho-sociologie.
    Que serait une immunologie sociale au juste, parlant comme vous le faites ici d’épitopes sémantiques ?
    - une simple analogie métaphorique ?
    - ou (comme je le soutiens) un continuum d’imbrications dia-logique modélisable ?
    Thème « peau de banane » s’il en est, vu la censure « politiquement correcte » en pseudo-sciences humaines, de toute biologisation du fait social !

    2. Mais article qui élude la moitié de son thème annoncé, titré,
    traitant bien de la notion « d’impasse », mais faisant impasse sur le premier terme, « le religieux », surtout sur l’articulation causale, déductible de l’un vers l’autre.
    Car « le » religieux ? n’est-ce pas là substantivation abusive d’un épithète, mot valise véhicule subjectiviste, mot repoussoir conventionnel du progressisme dogmatique, donc notion nébuleuse minée, catégorie hétérogène s’il en est... donc matériaux à recycler avant façonnage en atelier ?
    Finalement mot qui pose peut-être plus de d’inconnues que de paramètres dans l’équation à résoubre, impasse sémantique qui participe peut-être des autres impasses ! du contexte de sa nécéssité... Mince !

    Affaire à suivre.



  • PascalDemoriane 9 juillet 2021 17:57

    Je ne pense pas que la capacité en génie logiciel de synthétiser et d’amorcer
    un réseau de systèmes animés de consciences reflexives autonomes, d’auto-apprentissages, d’interactions décisionnelles créatives et de régénération cyclique soit une utopie ni un problème nous pendant au nez : la base est déjà là. La notion d’« intelligience artificielle », c’est juste un piège intellectuel aveuglant, un os à ronger, un tourniquet pour cerveau de souris !

    Le danger vient plutôt des humains en dérive évolutive qui ne sont pas cérébralement assez structurés pour gérer en conscience collective une société complexe composite mondiale durable à la fois méta-conscience hypertechnique et biologique coopérative, pour en comprendre et intégrer ne serait-ce que les principes, faute de comprendre les ressorts de leur propre conscience limitée.
    La rupture ne viendra donc pas des machines conscientes révoltées, mais des humains en dégénérescence passive, tels qu’urbanisés, débiologisés qui sont déjà en scession consentie d’autonomie corporelle, puis mentale, en dépôt de bilan cérébral, promis à quelques futurs zoos d’échantillons conservatoires. Pour la masse, c’est game over.
    Vivement qu’on en finisse ! Nul n’est indispensable ! Moi non plus...

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