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PascalDemoriane

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Tableau de bord

  • Premier article le 05/07/2021
  • Modérateur depuis le 14/04/2022
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Derniers commentaires



  • PascalDemoriane 30 août 2021 10:26

    Curieux comme la dernière phrase de ce bref article contredit méthodiquement la première. L’auteur s’amuse j’espère...

    Donc résumons
    1. le peuple n’a pas par définition la maîtrise organisationnelle et auto-productive de lui-même,
    2. s’il avait la maîtrise organisationnelle minimale unitaire et unanime d’un boycott de consommation très ciblé, maîtrise qu’il n’a pas par définition, il aurait peut-être le moyen partiel d’un combat partiel.
    Ok, on est content de savoir que si ma tante en avait, des roues ou des roubignoles, elle conduirait tonton ou l’autobus, voire les deux...
    Conclusion bien inspirée du professeur Lampion : donc le peuple n’est bien que le mot d’une chose qui n’existe pas, ne se pense pas, par elle-même : il est en soi une auto-aliénation collective à un ordre tiers qui le prive d’autonomie relative pour agir. Bien.

    Plutôt qu’un syllogisme politologique hasardeux, l’auteur puisqu’il est chimiste aurait pu nous faire une «  chimie amusante » et édifiante, allégorique comme suit :

    "Si les atomes de la table de Mendeleiev boycottaient selectivement leur emploi en biochimie macromoléculaire, ils pourraient agir sur les orientations cellulaires de l’ordre du vivant : par exemple faire la grève sélective de leur ionisation avant celle, plus radicale, la grêve générale des valences clefs du carbone.
    Or, aurait-il dit, comme les atomes n’intègrent pas en chacun la structure globale de la classification périodique des éléments, ils ne feraient pas une entité globale en soi, par soi, pour soi (Hegel) et n’interagiraient donc que qu’à leurs échelles fragmentaires spécifiques. Çà marcherait pas !"
    Ce qui est d’ailleurs discutable du point de vue cosmologique fondamental !

    La portée métaphorique, allégorique de cette politico-chimie dialectique fantaisiste aurait été peut-être plus créative et stimulante sur les notions d’auto-organisation potentielle d’une entité complexe. Voire. C’est une suggestion amicale et gourmande à l’auteur.



  • PascalDemoriane 27 août 2021 09:40

    Intéressant mais confus !
    Bonne idée éclairante de dualiser, opposer, dialectiser, re-présenter les dynamiques d’idées de Malthus & Godwin comme une clef d’intro parmi d’autres au problème de la démographie globale du fait techno-social en pleine révolution industrielle capitaliste transitoire d’alors, aujourd’hui parvenu à un stade de contradiction paroxystique.

    Par contre j’ai pas compris ni trouvé dans l’article comment ni de quoi étayer sa lecture axiologique de genre (féminin-masculin, bien-mal), annoncée dans le titre, appliquée à ces deux approches apparentées et contradictoires.
    Le sous-jacent non dit de l’exposé semble dualiser un socialisme féminin(iste) bourgeois et un rationalisme froid masculin(iste) latents. C’est flou.

    Notons qu’il y a déjà autant via Malthus que Godwin un complexe tendanciel convergent de classe, très anglo-saxon, vers l’esquisse d’un eugénisme transhumaniste (immortalité statique) et de la nécéssaire débiologisation, désexuation de l’humain-masse qui va avec.

    Nous sommes peut-être sur ce point en pleine actualité occidentale contemporaine. Le totalitarisme pseudo-vaccinal n’est-il pas une réinstanciation cyclique par la classe dominante des délires morbides d’une Mary Shelley, c’est à dire finalement du progressisme déshumanisant ! Voire.
    On attend la suite de l’article pour ne pas rester au milieu du gué...



  • PascalDemoriane 5 août 2021 12:02

    @l’auteur écrivant

    « si nous ne cherchons pas la cause première qui dicte notre conduite, alors tous les écrits du monde,... ne sont que de l’information, que lettres mortes. »
    OK, Bonne nouvelle, cette cause première, elle est largement cherchée depuis des siècles et mieux trouvée par des milliers de chercheurs contemporains. Leurs travaux ne vous sont-ils qu’informations & lettres mortes ? Solution bien ordonnée commence par soi-même, par nous-mêmes.
    Non les acteurs du grand capital et des pouvoirs transnationaux ne sont ni fous ni méchants, ils subissent aussi la logique immanente paradoxale de l’emballement incontrôlé des techno-sociétés concurrentielles complexes. çà s’étudie ! c’est urgent !

    @ Adèle Coupetout

    Même remarque, désigner une minorité ou une majorité coupable ou fautive, une collectivité chimérique comme dit Marx, n’explique rien et donc ne solutionne rien. Il n’y a pas des gens pour ceci ni des gens contre cela, juste des paresseux pleurnicheurs rivés à l’opium médiatique qui ont renoncé au dialogue et à l’effort intellectuel, donc à eux-mêmes. çà n’en fait pas une collectivité typée cernable ni même une majorité : 0+0+0+.... 30 millions de fois, çà fait toujours 0 au regard de l’histoire ! Donc tout est ouvert ! y plus qu’à oser agir !



  • PascalDemoriane 22 juillet 2021 13:57

    Oui ! Merci camarade, quel bel élan ! Oui, tout est à refaire ! Rien à garder des rebus non recyclable de ce monde de merde. Oui, cette révolution doit être radicale

    et je rajouterais « érotique ». Et ceux qui demandent « en pratique, on fait quoi ? » sont encore des esclaves épiciers qui demandent les recettes à leur maîtres pour ne rien changer ! Ben non faut oser prendre en charge le risque du possible, se rencontrer physiquement, pas derrière des écrans , décider ensemble et agir pour survivre. Nous savont faire !



  • PascalDemoriane 20 juillet 2021 10:36

    @Taverne
    Là vous mettez de la dialectique par permutation donnant un peu de sens aux mots liberté et vérité. Super ! Reste à clarifier qui est le « On » de « on ne doit pas » et qui en dicte le devoir. Dieu ? L’être suprême ? Vous ? Macron ? La Loi ? Les maths ? La démocratie ? Pas simple !
    Car comme on dit, « on » c’est un con !"

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