Il suffit de rechercher avec « Spartacus » et « Pinochet ». Du coup, on ne trouve pas sur Agoravox UN lien, mais de nombreux copier-collés du même texte ou vous refaite l’histoire du Chili pour justifier le coup d’Etat de Pinochet.
Chacun pourra juger sur pièces. Pas besoin de réécrire vos mots.
@Spartacus Il n’y a aucun miracle Chilien. le PIB moyen par habitant est supérieur au PIB moyen par habitant dans la région (c’est la moindre des choses dans un pays faiblement peuplé qui est le 1er producteur mondial de cuivre et de lithium, entre autres). Autant crier au miracle Qatari. Mais comme ce PIB moyen correspond également à l’une des plus forte inégalité de la région, la majeure parte des Chiliens reste pauvre.
Dès que 2 ou 3 péquins s’enrichissent à outrance sur le dos des autres, vous criez au miracle économique.
Vous vantez à perte de vue ce genre de miracle frelaté et vous vous étonnez que vos idées soient combattues. Franchement, elles ne le sont pas assez.
@Lugsama Dans de précédents commentaires Spartacus a longuement justifié le coup d’Etat de Pinochet. Je ne parle pas sans éléments factuels
Sa justification, c’est un peu celle qu’avait avancé Thatcher : Pinochet a rétabli la démocratie. Puisque vous citer Goebbels puis-je vous rappeler une de ces citations : « un mensonge énorme porte en lui une telle force qu’il écarte le doute ».
J’ai rarement vu un article aussi con. Deux pays plus libéraux que la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, ont des problèmes alimentaires bien pire que les nôtres et consomme encore plus de malbouffe que nous.
@Spartacus Chacun ses dictateurs adorés. Vous, c’est Pinochet. Presque pas autocrate et presque pas sanguinaire...
Le régime de Maduro va finir comme tout les régimes qui ont tenté une évolution sociale. Soit s’effondrer par la déstabilisation interne ou venue de l’extérieur : propagande et diffamation, blocus, infiltrations de groupes terroristes, sabotage économique, bombardement, guerre. Soit se renforcer pour tenir, devenir une économie de guerre et finir en dictature. Maduro est aujourd’hui exactement à ce point de bascule. En résumé, finira-t’il comme Allende ou comme Castro ?
Aucune expérience de transformation sociale, aussi démocratique et pacifique soit-elle au départ n’a jamais été laissée en paix par le capitalisme et encore moins dans la zone la plus proche des Etats-Unis. Toutes ont fini comme je l’ai expliqué : soit écrasée, soit poussée vers la dictature, l’état d’urgence et l’état de guerre pour résister à l’écrasement. Toutes.
Il est facile ensuite de dire que le socialisme a toujours échoué. On l’aura toujours beaucoup aidé
Il n’y a aucune espèce de considération d’ordre moral, politique ou philosophique dans ce constat. Il ne s’agit que d’une analyse de faits historiques : le socialisme perd. Soit il perd le combat, soit il perd sa nature démocratique. Cette situation constante ne dépend absolument pas de la valeur intrinsèque du capitalisme ou de la valeur intrinsèque du socialisme (c’est un autre débat). Elle n’est que le résultat d’un rapport de force.