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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 15 avril 2009 23:01

    La faille est dans le 3 et le 4. A partir de l’URL, le N° IP, « ils » auront tôt fait de vous retrouver, si ce n’est vous c’est donc votre frère, et de vous mettre toute la responsabilité sur le dos.

    Non, rien ne va plus, le contrôle est en passe (grâce notamment à Hadopi) de transformer la société en lieu où la règle sera surveiller et punir.

    Peu à peu, sans que l’on s’en aperçoive, la France perd son espace de droit, l’Etat de Droit disparaît pour laisser place à l’arbitraire.

    Comme toutes les lois inapplicables, elles provoquent un peur diffuse, et peuvent être appliquées pour l’exemple, contre un film qui aura montré ce que le gouvernement voulait cacher, et qui peut être n’importe quoi.

    Absurdité des textes, inégalité du traitement, flou dans les termes, impossibilité d’application, contradiction (non assistance à personne en danger et interdiction de l’aide aux sans -papier (s’ils sont malades, que faire ? )), l’arbitraire devient la règle.

    C’est inquiétant, mais qui veut régner par la peur cesse d’avoir le moindre pouvoir lorsque la peur est dépassée. Nombre de dictateurs finissent mal.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 6 avril 2009 21:24

    La proposition est le minimum minimorum qu’ils auraent pu établlir sans risquer quelque remise en cause que ce soit.
    Ils en sont bien en deçà.

    Du coup, la question subsidiaire est celle-là : se rendent-ils seulement compte de la gravité de la situtation ?

    Déconnectés du réel par une chaîne de serviteurs zélés, à l’abri de tout souci pour eux-mêmes et leurs familles, vivant dans un cocon depuis leur enfance, leur adolescence, ou le début de leur âge adultes (pour les plus éveillés), ils n’ont aucune conscience de ce qui les entoure, du quotidien, de ce que représente un prix, de ce qu’est accomplir un travail.

    Toujours en représentation, ce sont des êtres-théâtre, des non-personnes-images, des icones en sustentation. De jet en meeting, d’Hôtels en plateaux, ils sont partout entourés de sous-fifres qui accomplissent leur job.

    Ils ne pensent plus, ils n’agissent plus, ils se représentent.

    Alors, je crois que la crise leur est parfaitement étrangère. Et leurs conseillers, s’ils veulent subsister, doivent leur offrir un tableau du monde qui ne leur donnera aucun souci.

    Dans ces conditions, à quoi bon décider ? Il suffit de "faire cour", d’être la Cour.
    Le G-vain est une sorte d’hypermonarchie planétaire d’où le spectacle du monde doit être beau, lumineux, et parfait. Entre Gens d’une hauteur de vue infinie.
    Et là, toute décision prise, ne sauraît être que merveilleuse, même si elle n’est pas.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 6 avril 2009 21:03

    Nous passons du clochemerlesque au cauchemerdique !



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 6 avril 2009 20:53

    Entièrement d’accord.
    Le problème est que les décideurs ont tous suivi les mêmes Grandes Ecoles de Management, ont tous été libéraux néoclassiques, ont tous prôné des politiques qui s’avèrent catastrophiques. Et ce sont ces mêmes décideurs qui font semblant de remettre le système en cause.
    Il n’en est rien. Tout doit continuer comme avant, destructions sociales pour accroître les profits. Distribuer aux hyper-riches (dont les institutions financiaires et industrielles) l’argent que les pauvres n’ont pas encore gagné, et qui les condamnent eux et leurs descendants à une misère certaine.
    Car l’argent au FMI, ce sera pour promouvoir l’industrie, aider à la croissance, à la productivité, à l’exportation... vers quels consommateurs ?
    Et le social, dans tout cela ? Partout dans le monde, les hopitaux, les écoles, les ressources en eau, en nourriture, se trouvent abandonnées lorsqu’elles ne servent aucune multinationale. 
    Total, Boloré, Monsanto, symboles d’un pillage planétaire, continueront de sévir, et nous, bientôt, de mourir.

    Ce serait cela : remettre l’être humain au centre. Son être, lié aux autres êtres, plutôt que sa voiture. Et trouver un moyen d’une "écostabilité". Non pas le développement durable (qui laisse ouverte la question : durable combien de temps), mais l’équilibre "homo-bio-énergétique".
    Se débaraser de la rolexisation de la politique pour enfin se donner le temps de penser. De penser à soi, et surtout à autrui.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 8 février 2009 22:24

    Ce qui se passe en Amérique Latine pourraît nous donner espoir.

    Différents pays, par différents moyens, se sont d’abord libérés de dictatures sous contrôle Etats-unien, puis d’oligarchies libérales sous contrôle du FMI (pour dire bref).
    Ils ont des divergences, des problèmes, mais ils construisent un renouveau avec en commun la prise en compte de l’’importance du "social".

    En Europe aussi, nous pouvons changer de modèle. Mais il y faut de l’énergie, de l’écoute de l’autre, de l’imagination, bref une intelligence constructive.

    Les frémissements actuels, en Grèce, Italie, Espagne, France, dans d’autres pays, font penser que quelque chose émerge.

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