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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Nicolas 18 avril 2007 15:48

    A lerma,

    Vous oubliez de dire que Londres et sa « City » profitent d’un taux de fiscalisation sur les transactions, inférieur à ce qui a cours sur le Continent. Et c’est en partie ce qui explique son succès. Mais de cette concurrence déloyale, un magazine comme The Economist n’en parle jamais. C’est tout le « Fair play » bien compris !



  • Jason Nicolas 16 avril 2007 22:09

    D’accord avec Léon et merci à Philippe d’avoir démasqué ce pourfendeur de statistiques.

    Mais en est-on vraiment à ce point en perte de repères, qu’il faille nous comparer à chaque instant aux voisins pour savoir si on est plus ou moins miséreux qu’eux. Tous ces chiffres me semblent une digression bien maladroite. Car comment mesurez-vous toutes les activités non rémunérées de l’économie domestique ? Il faudrait peut-être que les statisticiens et les économètres se réveillent et créent des unité de compte pour évaluer toutes les activités qui soutiennent les sociétés basées sur l’économie marchande (99% de la planète). Mais il vaut mieux pourfendre les chiffres existants, comme l’auteur du livre cité, c’est un fond de commerce comme un autre.



  • Jason Nicolas 16 avril 2007 13:34

    Bonjour M. Lipietz,

    Je vous remercie de prendre le temps d’exposer votre opinion sur la position d’Etienne Balibar. Personnellement, je ne vous connais vraiment ni l’un , ni l’autre. Alors pourquoi je ferais l’effort d’un commentaire ? C’est que, comme beaucoup de mes compatriotes je n’ai aucune confiance en vous tous, là-bas, à Bruxelles ou Strasbourg, avec des bureaux au Luxembourg, ou ailleurs... Le gouvernement européen, pour moi, c’est encore plus loin que la Nouvelle Guinée.

    Quand on pense à ce pauvre M. Murray qui, avec une poignée de fonctionnaires défend les intérêts des consommateurs face à 15.000 lobbyistes, qu’on voit un Pascal Lamy pratiquer la théorie des avantages comparatifs à la Ricardo et foutre allègrement des dizaines de milliers d’employés sur la paille grâce au moulin à vents commercial qu’est devenue l’Europe, je passerai de côté le comportement de l’Angleterre, celui de la Pologne et sans doute de quelques autres... Sans oublier le fameux compromis de REACH, cette pantalonnade ! De quelle crédibilité voulez-vous vous prévaloir ?

    La télé française parle de l’Europe une fois de temps en temps, après la chronique des « chiens écrasés ». A cela s’ajoute tout ce qu’on ne sait pas et qu’on ne saura jamais.

    M. Lipietz, la liste serait trop longue, vous en savez beaucoup plus que nous, et ça, c’est gravissime, car vous n’en dites rien.

    Le citoyen lambda n’a plus confiance non seulement dans ses classes politiques françaises, mais aussi dans cette Europe approximative aux idéologies flapies, qui dirige sans vouloir se faire connaître.

    Merci d’être venu, mais à votre place, je m’inquiéterais ; et c’est de cela que j’aimerais entendre parler sur ce site.



  • Jason Nicolas 14 avril 2007 12:03

    A la mouche du coche,

    Votre observation est vraie. Cependant, mon expérience dans l’industrie m’a montré qu’il existe beaucoup de tâches dévalorisantes, pénibles, et mal payées. Ne nous étonnons pas que les employés dans ces cas ne s’intéressent pas à leur travail. Un grand nombre d’emplois ne sont que des tâches purement alimentaires, qui ne font que démoraliser ceux et celles qui sont forcés à s’y livrer, pour ne pas dire pire. Dans nos pays soi-disant avancés il existe un trop grand nombre de personnes qui sont obligées de vendre leur force de travail aux plus offrants.



  • Jason Nicolas 13 avril 2007 20:14

    A Jules,

    Ce slogan, car c’est bel et bien d’un slogan qu’il s’agit, s’adresse à deux groupes de personnes : les employés et les employeurs. En fait pas n’importe quels employeurs, ceux dont l’entreprise emploie plusde 20 salariés et auxquels la loi des 35 heures s’applique. Si j’en juge par le graphique présenté par le journal Les Echos (je sais, une telle lecture peut me rendre suspect aux yeux de certains, mais attendez de lire le reste), qui cite comme source le ministère des PME, seulement 4% (sur les 2,6 millions au total) des entreprises françaises tombent sous la loi des 35 heures. Cela fait un total de 104.000 entreprises. Cela fait pas mal de monde j’en conviens, mais représente quand même une minorité sur le nombre total de salariés du pays.

    Ce slogan attire l’attention, car qui oserait dire qu’il est contre le travail ? Il plaît aux employeurs d’abord, mais notons qu’ils ne créent d’emplois que suivant les prévisions de chiffre de leur entreprise. Il y a là pour chaque employeur une possibilité (lointaine il est vrai) d’accroître ses gains. Ensuite, ce slogan va plaire aux salariés qui souhaitent gagner plus et qui travaillent chez les 104.000 ci-dessus, à condition toutefois que les plans prévisionnels de leur employeur le permettent. Ce qui n’est pas garanti.

    On voit clairement qu’en y regardant de plus près, ce slogan s’adresse non pas au grand nombre, malgré son effet d’annonce « travailler plus pour gagner plus », mais à un nombre relativement restreint de personnes. Certains employeurs peuvent y gagner, certains salariés peuvent augmenter leur fin de mois, mais c’est tout. Et les autres ne sont que de simples spectateurs. Le candidat Sarkozy a fait une belle bourde en ne s’adressant qu’à une minorité, alors qu’il brigue la présidence ! Aurait-il prêché à une élite de salariés et aux employeurs déjà bien placés économiquement, qu’il ne s’y serait pas pris autrement.

    Cette déclaration est pure démagogie électorale et un attrape nigauds.

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