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Aujourd'hui retraité je suis un ancien syndicaliste (qui a été délégué du personnel) et qui est militant du NPA. Mon parcours militant est jalonné de combats qui m'ont marqué.... Mai 68, qui correspond à l'époque où j'étais un tout jeune travailleur de 19 ans, la mort de Pierrot Overney assassiné devant les grilles de chez Renault, la lutte des Sonacotra, l'assassinat de Mahmoud hamchari, d'Ezzeddine Kalak et d'autres militants Palestiniens, le conflit Talbot contre le syndicat fasciste CFT-CSL pour parvenir au CPE puis aux grèves contre la "Réforme" des retraites....
 

Tableau de bord

  • Premier article le 05/02/2013
  • Modérateur depuis le 21/08/2015
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Derniers commentaires



  • jaja jaja 9 février 2018 14:18

    Lasch et Michéa...pas sûr que Mélenchon gouterait d’être associé à ces deux lascars pas clairs que l’extrême droite vénère...
    Enfin ça vous regarde à la FI...



  • jaja jaja 9 février 2018 13:50

    @capobianco

    Je ne connais pas grand chose du monde ouvrier, peut-être, mais j’étais métallo et syndicaliste et si je me suis fait virer, ça m’est arrivé, c’est par mon patron et jamais par mes collègues de travail...
    Sur Renault, ayant travaillé à Flins, il y aurait beaucoup à dire concernant les grèves des OS, majoritairement immigrés, peu soutenues par les directions syndicales à cette époque....

    Gonflé de me parler de mes ex-amis du PS alors que vous soutenez un apparatchik issu de ses rangs et qui aujourd’hui encore tresse des lauriers à Mitterrand dont la carrière au service du capitalisme et de l’impérialisme ne peut-être mise en doute !



  • jaja jaja 9 février 2018 13:11

    Quand je dis « tous ceux qui ont gardé leurs convictions d’antan toute leur vie durant » je parle de toutes celles et tous ceux que l’on croise sur les luttes, syndicalistes, militants anarchistes et communistes de toutes obédiences, zadistes etc...

    Et pour moi un parti n’est qu’un outil qui ne peut pas conquérir le pouvoir d’État par des urnes trafiquées par l’argent et les médias sans se renier...
    Le seul pouvoir que je reconnais c’est celui des Assemblées de travailleurs, celui issu de la grève générale insurrectionnelle... et certainement pas celui des politiciens professionnels aux buts réels toujours soigneusement cachés !



  • jaja jaja 9 février 2018 12:31

    Pour moi, à cette époque, les étudiants étaient un véritable mystère et plus généralement les intellectuels. J’ai rapidement compris, à leur contact, que leur révolte envers les dominants, ceux qui ont le vrai pouvoir économique, l’argent, était bien souvent la révolte de ceux qui veulent s’émanciper de la soumission aux capitalistes, souhaitent les remplacer, sans réellement se soucier de la condition des ouvriers qu’ils appellent tactiquement à se battre à leurs côtés.
    Leur but c’est diriger, avoir l’exclusivité du pouvoir, qu’un théoricien comme Djilas qualifiait de « jouissance suprême ».

    Les intellos soixante-huitards ayant tourné leur veste se sont rapidement rendus compte avec la chute de l’URSS qu’ils avaient encore beaucoup de possibilités d’ascension sociale sous le capitalisme qui n’était pas (pour eux les « sachants ») l’ogre qu’ils pourfendaient dans leurs années de jeunesse... Ces « dirigeants » « révolutionnaires » ont donc continué à diriger... ce pourquoi ils se jugeaient faits depuis le berceau où ils avaient été élevés en ce sens...

    J’en veux pour preuve les cris effarouchés des intellos en général dès que l’on aborde la question de l’égalité salariale dans la société socialiste, égalité qui n’a d’ailleurs jamais existé où que ce soit.... et contre laquelle ils vous objecteront le vieux concept marxiste du « travail simple et du travail complexe » pour justifier le maintien de l’inégalité fondamentale, même sous le socialisme, comme ce fut le cas dans tous les pays dits du « socialisme réel »

    Ce mécanisme du dirigeant, même issu de la base est aujourd’hui bien connu. C’est le spécialiste qui devient indispensable plus l’organisation devient complexe. Il connait tous les rouages de l’appareil et de plus en plus une petite coterie (qui se méfie d’elle-même et en arrive à se combattre) dirige. L’adhérent de base lui, souvent, ne s’intéresse que moyennement à ce qu’il se passe au sommet, n’est pas aussi investi que ceux qui sont devenus avec le temps ses chefs. Plus le temps passe et plus le fossé se creuse entre les dirigeants et les dirigés...

    Il se crée ainsi un intérêt en soi pour les dirigeants qui exigent de bons salaires et de bonnes conditions de vie en général. Pour eux la révolution est faite et ils comprennent de moins en moins les revendications de la base et en arrivent même à les combattre jusqu’à passer dans le camp ennemi si des conditions encore meilleures leur sont proposées...

    C’est grossièrement le chemin parcouru par ces « élites révolutionnaires » de Mai 68 qui ne doivent pas cacher la forêt de toutes celles et tous ceux qui ont gardé leurs convictions d’antan toute leur vie durant. Et qui ne se sont pas battus comme des chacals pour obtenir des postes...



  • jaja jaja 8 février 2018 13:10

    @gruni

    Bonjour Gruni,...

    vous en savez plus que moi sur moi smiley Seul un gros rhume me garde à la maison aujourd’hui... D’ailleurs je merdoie dans mes commentaires avec mon mal de crâne...

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