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Les commentaires de jaja



  • jaja jaja 23 février 2018 20:15

    @Julien Esquié

    le NPA ne se définit pas comme étant un parti trotskiste mais cherche à regrouper le meilleur des traditions du mouvement ouvrier pour le socialisme du XXIème siècle.... Premier point
    Deuxième point, je ne suis pas anarchiste non plus... Il faut arrêter de chercher à placer les gens dans tes petites boîtes idéologiques d’un autre siècle... Laisse ça aux flics...



  • jaja jaja 23 février 2018 17:13

    @Julien Esquié

    Euh...je ne suis pas pabliste, vois-tu je n’ai pas digéré Kronstadt... Mais bon... A propos toi toujours à faire le lèche-cul des fachos de ce site ?



  • jaja jaja 22 février 2018 00:40

    @Fifi Brind_acier

    C’est vrai... Il n’y a jamais de réel changement de société qui va à l’encontre des voeux de la Bourgeoisie par les urnes...
    La Bourgeoisie capitaliste a promu ses serviteurs « de gauche »... les dirigeants de Syriza ont bien fait leur boulot à son profit exclusif... de Tsipras à Varoufakis tous sont responsables...



  • jaja jaja 21 février 2018 23:44

    @ Fifi

    Vous imaginez spolier les actionnaires des banques, les socialiser, annuler la dette sans remboursement ni rachat et pouvoir rester dans l’UE capitaliste les mains dans les poches ?
    C’est au contraire un affrontement sans merci entre les tenants de l’ancien régime capitaliste et les partisans du socialisme, un vrai soulèvement d’ensemble qui seul peut changer la donne...

    Il n’y a pas de passage possible au socialisme par des urnes manipulées par l’argent, les médias et les forces de répression de la Bourgeoisie.
    Des gouvernements « de gauche » tel celui de Syriza en Grèce sont contraints de se plier à la politique dictée par le système puisqu’ils se refusent à détruire les cadres mis en place par ce dernier et prétendent que la meilleure réponse serait le recours à un gouvernement de type kéneysien, remédiant à la faiblesse de l’investissement, qui leur semble le facteur principal de la crise. En bref un gouvernement qui favoriserait les patrons productifs et obligerait les autres à plus d’investissements.
    Sans voir que l’austérité qui nous est imposée vise avant tout à maintenir le taux de profit des capitalistes qui tend à baisser en période de crise... et que ces derniers ne sont prêts à rien lâcher comme c’était le cas dans les périodes de prospérité relative.

    Pour les socialistes il s’agit d’imposer l’expropriation des grands groupes capitalistes et les mesures politiques nécessaires à la défense comme à l’extension de la révolution. Ce qui veut dire qu’un pouvoir des travailleurs doit disposer des outils indispensables à l’organisation des secteurs stratégiques de l’économie. Donc il doit contrôler les capitaux et avoir le monopole du commerce extérieur et du crédit...
    C’est pourquoi il doit contrôler sa monnaie (création d’une monnaie inconvertible sur les marchés financiers) afin de pouvoir assurer la planification démocratique et autogestionnaire de l’économie...

    Notez qu’avec ces mesures la rupture avec l’UE et les pays restés capitalistes est consommée (à supposer qu’aucun autre État en Europe ne se soulève également)... et que cette rupture est non seulement anti-capitaliste mais aussi internationaliste car elle ne se limite pas à un simple repli derrière les frontières nationales mais cherche à se lier avec d’autres pays dès que possible...

    Ignorer ces questions, c’est renoncer à poser concrètement la question du pouvoir. Ce que font tous les sociaux-démocrates qui de plan A en plan B ignorent superbement la nécessité de s’emparer de l’économie dans toutes ses dimensions... pour finalement, une fois installés au pouvoir, se contenter de gérer cette dernière au profit des capitalistes...



  • jaja jaja 21 février 2018 22:57

    @La Voix De Ton Maître

    Que voilà un commentaire intelligent ! Encore un crétin qui se la joue !



  • jaja jaja 21 février 2018 17:19

    @Luc-Laurent Salvador

    L’essentiel pour la gauche en Grèce aurait été de socialiser les banques sans aucune exception afin de s’assurer du monopole du Crédit puis d’annuler la dette sans remboursement aux capitalistes qui la détiennent puis de socialiser les transports, les communications, l’énergie...

    Son rôle principal aurait été de comprendre que son ennemi principal c’était bien les capitalistes avant tout et donc de les déposséder méthodiquement pour commencer à instaurer l’égalité sociale...

    Mais ce n’est pas ce que voulaient les traîtres que sont les Tsipras ou Varoufakis qui se sont défaussés sur l’Europe pour accomplir leur forfait au profit des capitalistes grecs et des multinationales étrangères...

    UE qui n’aurait plus eu aucun pouvoir sur la Grèce si elle avait eu comme politique d’instaurer en force le socialisme...

    Rappelons au passage que l’ennemi principal des travailleurs c’est bien « leur » État-nation, son armée ses polices et sa justice de classe qui les répriment dès qu’ils cherchent à s’émanciper du joug patronal... L’Europe et ses institutions sont au service de la classe capitaliste et non leur maître... ce qu’il faudrait commencer à comprendre...



  • jaja jaja 21 février 2018 14:10

    @alinea

    Je ne sais que peu de choses de Youlountas sinon qu’il écrit toujours dans le Monde libertaire et qu’il participe aux convois vers les quartiers populaires de Grèce et qu’il continue à faire des films militants, comme « Je lutte donc je suis »
    http://jeluttedoncjesuis.net/...

    Cette trahison du programme initial de Syriza par sa propre direction démontre à merveille (une fois de plus) combien confier le pouvoir à une petite coterie de dirigeants professionnels à la Tsipras est la garantie d’être flouée pour la majorité des militants, des adhérents, des sympathisants et pour les masses de travailleurs qui croyaient en ces gens...

    La rotation des mandats doit être impérative à tous les niveaux, les élus doivent pouvoir être révoqués par la base à tout moment, et ce sont les Assemblées générales qui doivent trancher tous les aspects importants de la vie de l’organisation... Le faire admettre partout, ce n’est pas de la tarte !



  • jaja jaja 21 février 2018 10:30

    A l’attention des irréductibles groupies de l’ex comédien des finances grec.

    POUR EN FINIR AVEC VAROUFAKIS

    Sur le site du CADTM*, mon camarade et ami Eric Toussaint s’est lancé dans une éclairante analyse critique du nouveau livre égotique du chevalier blanc Varoufakis (550 pages de « moi je ») et démontre encore toute l’imposture du personnage.

    Eric vient notamment de nous dénicher la preuve formelle que Tsipras, Varoufakis et Dragasakis s’étaient bien mis d’accord en secret dès novembre 2014, c’est-à-dire deux mois avant l’élection de Tsipras, pour ne jamais appliquer le programme de Thessalonique. Ce programme, largement adopté lors du congrès de SYRIZA en septembre, avait été présenté, durant la campagne de janvier 2015, comme la pierre angulaire et le cap incontournable de Tsipras et Varoufakis en cas de victoire le 25 janvier.

    Parmi les premiers à dénoncer cette trahison, Stathis Kouvélakis m’avait également parlé « d’arrangements probables fin novembre 2014 », mais n’en avait pas encore la preuve. A l’époque, le mouvement social recommençait à descendre dans la rue, avant que les émeutes et occupations ne se multiplient début décembre, à l’initiative des anarchistes en solidarité avec leurs camarades emprisonnés en grève de la faim, en particulier Nikos Romanos. Craignant une insurrection sociale similaire ou plus intense encore qu’en décembre 2008, le gouvernement de droite du premier ministre Samaras avait alors essayé de calmer le jeu en annonçant des élections anticipées, selon la stratégie gaulienne de juin 1968.

    La preuve de la préméditation, la voici enfin, trois ans plus tard, de l’aveu même de Varoufakis, emporté par sa vanité qui lui fait dire jusqu’à l’inavouable. Le Tartuffe de la gauche européiste dévoile le pot-aux-roses dans une page de son livre :

    « J’étais à Austin (Texas) quand j’ai entendu aux informations qu’Alexis avait présenté les grandes lignes de la politique économique de Syriza dans un discours à Thessalonique. Surpris, je me suis procuré le texte et je l’ai lu. Une vague de nausée et d’indignation m’a submergé. Je me suis tout de suite mis au boulot. (…) Le Programme de Thessalonique promettait des augmentations de salaire, des subventions, des bénéfices et des investissements qui seraient financés par des mannes imaginaires, ou illégales. Il comprenait également des engagements que nous ne devrions même pas avoir à tenir. Enfin, il allait à l’encontre de toute stratégie de négociations raisonnable pour maintenir la Grèce dans la zone euro, tout en affirmant qu’elle devait y rester. Le programme était tellement bancal que je n’ai même pas pris la peine de le critiquer point par point. J’aurais tellement aimé lire un autre discours de la part d’Alexis Tsipras ! Vous imaginez un discours qui commencerait par Pourquoi voter pour nous ? et répondrait Parce que nous vous promettons trois choses : du sang, de la sueur et des larmes ! »

    A la lecture de ces lignes, Eric commente fort justement :
    « Prendre comme référence positive W. Churchill dans une critique publique adressée au programme de Thessalonique, c’est toute une affaire. Churchill a organisé la répression sanglante des manifestations et des grèves qui ont secoué la Grèce à la fin de l’année 1944 lorsque, dans le cadre des Accords de Yalta, la Grande-Bretagne a pris le contrôle du pays en réprimant les principales forces qui avaient libéré le pays de l’occupation nazie. »

    Une fois de plus, depuis son départ au soir de la victoire du OXI le 5 juillet 2015, Varoufakis sombre dans le ridicule de sa mise en scène. Mais ce qui est nouveau, c’est que le pseudo héros des réunions de l’Eurogroupe vient de dévoiler une fois pour toutes ce qu’il est : un traitre et un imposteur.

    Yannis Youlountas

    http://www.cadtm.org/Les-propositions-de-Varoufakis-qui



  • jaja jaja 12 février 2018 10:12

    Pour le franco-israélien Amir qui a porté les armes 3 ans en Palestine occupée participer à The Voice et finir 3ème n’a jamais été un problème pour la bien-pensance médiatique... Pas de lynchage pour ce colon en armes paradant dans un pays qui ne lui appartient pas et qu’il terrorise...
    Il est vrai que Mennen est voilée et qu’elle soutient la cause palestinienne...

    Deux poids deux mesures, comme d’habitude, dans tous les médias à la botte...



  • jaja jaja 11 février 2018 21:43

    @malitourne

    Beaucoup de choses vous échappent en effet... Puigdemont n’est pas tout l’indépendantisme catalan de même que les barbus ne sont pas les seuls à être hostiles à Bachar....

    Et ce qu’en disent les anarchistes catalans pour l’indépendance autant que vous le découvriez... Jordi Martí Font, membre de la CGT (centrale anarcho-syndicaliste, branche catalane) interviewé ici par Jérémie Berthuin1.

    « Détruire le franquisme passe par l’indépendance de la Catalogne

    « Vu de l’extérieur cela peut paraître étrange que des libertaires, anti-étatistes comme nous, puissent être au coude à coude avec des personnes qui se mobilisent pour une Catalogne indépendante. Je vous invite à venir mettre un pied sur notre terre, et vous comprendrez assurément la profondeur de notre combat. Un combat marqué du sceau de l’auto-organisation, de rues qui vivent et crient leur désir de liberté »...

    Et en passant ils expliquent pourquoi fut votée la Constitution de 78 et l’analysent en profondeur :

    « Le franquisme newlook gouverne donc l’Espagne actuelle avec l’aval de l’ensemble des partis politiques. Car tous, y compris le Parti Communistes Espagnol (du temps où avec ses partenaires italiens et français il tentait une synthèse entre pratiques staliniennes et discours social-démocrate connue comme « Eurocommunisme ») firent allégeance à la royauté issue du franquisme. Le PSUC (Parti socialiste unifié de Catalogne, également communiste) en profita même pour mandater l’un de ses (brillants) intellectuels, Jordi Solé Tura, comme « constitutionnaliste » de 1978…

    Aucun parti ne maintint donc frontalement l’opposition au fascisme, si ce n’est les mouvements sociaux. Pire, le PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) se vautra dans le clientélisme face à l’aubaine inespérée de mettre ses cadres aux affaires.

    Franco, quelques années avant de gagner son lit de mort qu’une justice naturelle l’obligea à garder quelques semaines afin de définitivement passer l’arme à droite, avait précisé à son peuple, le 30 décembre 1969 : Todo ha quedado atado y bien atado (Tout est resté lié, bien lié)14. Le « tout », c’est l’Espagne chrétienne qui avait livrée croisade face aux hérétiques rouges ; le « lien », c’est évidemment le franquisme. Donc, détruire le franquisme, c’est défaire le lien maintenant le tout, c’est donc, défaire l’Espagne. Bien sûr, on pourra m’accuser de syllogisme mais, les manifestations nationalistes de ces dernières semaines, ayant pour seul mot d’ordre l’incarcération du président destitué de la Generalitat, Carles Puigdemont15 ; les bras tendus (même si minoritaires) ; les Cara al sol16  ; les drapeaux rouge et or d’une monarchie coloniale génocidaire, tant du côté africain qu’américain ; l’interdiction de la couleur jaune ou de l’utilisation de termes tels que « gouvernement en exil » lors de la dernière campagne électorale… ne peuvent laisser indifférents et ne peuvent surtout pas laisser penser à quoi que ce soit d’autre qu’à un retour en force des franquistes.

    http://www.grand-angle-libertaire.net/lindependance-catalane-en-debat/



  • jaja jaja 11 février 2018 11:19

    @Fifi Brind_acier

    Vous faites de la politique fiction pour nous vendre votre bourgeois issu de la droite dure et jadis collaborateur du Pasqua des milces anti-ouvrières...(SAC)
    Avec un tel CV il devrait la fermer à jamais ! Il est allé jusqu’à aller lécher l’écuelle à Sarko dans les années 2000, avant de se faire virer et de se prétendre le nouveau chevalier blanc...

    Votre Trump est le nouveau champion de l’impérialisme US, tout comme Obama l’était avant lui... Il n’y a aucune différence fondamentale entre les deux...
    D’ailleurs l’épisode récent où Trump déclare Jérusalem comme étant la capitale d’Israël démontre parfaitement qu’il est le bras armé de cet impérialisme US soutenant son porte-avions au Moyen-Orient... sa colonie de peuplement ce qui ne vous gêne en rien !

    Le peuple vote mal, dites-vous en parlant de régimes totalitaires où les urnes sont manipulées comme en Syrie mais condamnez le vote gagnant des Catalans indépendantistes... vote organisé et pourtant manipulé de bout en bout par le gouvernement et les médias espagnols. Là vous vous faites les alliés de l’UE des Merkel, Macron, May et. sans la moindre honte pour condamner les Catalans...

    Bref vous soutenez l’impérialisme US en Palestine et l’UE en Catalogne au nom des États-nations qui sont le principal ennemi des prolétaires et instruments armés de la domination de la Bourgeoisie que vous défendez bec et ongles...
    Mais votre politique officielle (démentie par vos mensonges) est bien loin de vos postures...

    Pour les Syriens réfugiés et issus du peuple et non vos amis de l’ambassade et de ses petits fours si vous alliez les voir où ils vivent vous sauriez ce qu’ils pensent de la famille Assad qui jadis écrasa les Palestiniens avant de faire subir le même sort à leur peuple...

    https://www.facebook.com/1536506946585351/videos/1833216043581105/



  • jaja jaja 11 février 2018 10:51

    @Fifi Brind_acier

    Alinéa l’anarchiste de pacotille qui ne doit pas connaître Durruti et qui fait corps ici avec l’extrême droite nationaliste et l’UPR du gourou issu de la droite anti-ouvrière ferait mieux de relire Bakounine plutôt que de soutenir un patriotard électoraliste... qui lui est vraiment en contradiction fondamentale avec ce qu’est l’anarchisme...
    D’ailleurs il n’y a aucune organisation anarchiste qui défend ses positions qui feraient rougir de honte n’importe lequel de ses militants...



  • jaja jaja 11 février 2018 10:41

    @capobianco

    Effectivement... n’étant pas Madame Irma prédire l’avenir m’est impossible contrairement à tous les faussaires qui ne se grattent pas pour le faire...



  • jaja jaja 9 février 2018 15:49

    @capobianco « Et vous pensez que c’est pour quand ? »

    Quand tous les faux semblants auront disparu... suivez mon regard....



  • jaja jaja 9 février 2018 14:47

    Des ponts entre l’extrême droite et la gauche radicale c’est ce que tente cet article... Michéa et Lasch c’est bien la réaction sous le masque d’un anticapitalisme de pacotille :

    « Leurs styles varient en fonction des lecteurs visés mais leurs propos sont fondamentalement semblables  : les valeurs traditionnelles disparaissent, l’immigration nous menace et l’islam plus encore. »...

    « Ces deux histoires fusionnent sous nos yeux  : c’est pourquoi le clivage gauche-droite est devenu un leurre  : la gauche (au singulier) aurait perdu de vue les classes populaires, c’est-à-dire renoncé aux valeurs réactionnaires que Michéa prête au peuple (au singulier également). Il emprunte ces valeurs à Proudhon, qu’il est devenu courant de présenter en penseur de l’émancipation en oubliant son sexisme, son antisémitisme, son corporatisme, son projet de banque du peuple comme panacée sociale et ses ambiguïtés face au Second Empire. »

    « l’abolition intégrale de la logique marchande (...) impliquerait en effet que tous les besoins et les désirs des individus pourraient être définis et imposés par la collectivité, ce qui reviendrait inéluctablement à détruire un des fondements majeurs de la vie privée  »(La gauche, les gens ordinaires et la religion du progrès, Flammarion, 2014). La moindre perspective de régulation de l’économie est la hantise de Michéa. »

    « Quant à Marx, s’il lui sert de caution et surtout d’appât pour les lecteurs, il est avant tout présent comme l’un des coupables du déclin de la gauche. Notre ennemi le capital s’emploie à sa récupération partielle et incohérente, combinée à tous les contresens volontaires. Il faut croire Michéa sur parole  : Marx serait un productiviste forcené admirateur sans nuance de la «  grande industrie  », partisan du «  socialisme d’en haut  », décidé à transformer la société en une «  vaste fabrique  », défenseur du rôle «  messianique  » du prolétariat industriel, etc., etc. Contre Marx, c’est le socialisme originel d’un Proudhon qu’il faudrait réhabiliter, et peu importe sa sinuosité politique. En réalité, l’originalité de Michéa consiste surtout à appliquer au socialisme les fantasmes identitaires en vogue aujourd’hui. Mais il vaut mieux prôner la réconciliation des petits patrons, petits commerçants, ouvriers et paysans, en citant Proudhon plutôt que Pétain. »

    https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/130617/jean-claude-michea-la-reaction-sous-le-masque-de-l-anticapitalisme



  • jaja jaja 9 février 2018 14:18

    Lasch et Michéa...pas sûr que Mélenchon gouterait d’être associé à ces deux lascars pas clairs que l’extrême droite vénère...
    Enfin ça vous regarde à la FI...



  • jaja jaja 9 février 2018 13:50

    @capobianco

    Je ne connais pas grand chose du monde ouvrier, peut-être, mais j’étais métallo et syndicaliste et si je me suis fait virer, ça m’est arrivé, c’est par mon patron et jamais par mes collègues de travail...
    Sur Renault, ayant travaillé à Flins, il y aurait beaucoup à dire concernant les grèves des OS, majoritairement immigrés, peu soutenues par les directions syndicales à cette époque....

    Gonflé de me parler de mes ex-amis du PS alors que vous soutenez un apparatchik issu de ses rangs et qui aujourd’hui encore tresse des lauriers à Mitterrand dont la carrière au service du capitalisme et de l’impérialisme ne peut-être mise en doute !



  • jaja jaja 9 février 2018 13:11

    Quand je dis « tous ceux qui ont gardé leurs convictions d’antan toute leur vie durant » je parle de toutes celles et tous ceux que l’on croise sur les luttes, syndicalistes, militants anarchistes et communistes de toutes obédiences, zadistes etc...

    Et pour moi un parti n’est qu’un outil qui ne peut pas conquérir le pouvoir d’État par des urnes trafiquées par l’argent et les médias sans se renier...
    Le seul pouvoir que je reconnais c’est celui des Assemblées de travailleurs, celui issu de la grève générale insurrectionnelle... et certainement pas celui des politiciens professionnels aux buts réels toujours soigneusement cachés !



  • jaja jaja 9 février 2018 12:31

    Pour moi, à cette époque, les étudiants étaient un véritable mystère et plus généralement les intellectuels. J’ai rapidement compris, à leur contact, que leur révolte envers les dominants, ceux qui ont le vrai pouvoir économique, l’argent, était bien souvent la révolte de ceux qui veulent s’émanciper de la soumission aux capitalistes, souhaitent les remplacer, sans réellement se soucier de la condition des ouvriers qu’ils appellent tactiquement à se battre à leurs côtés.
    Leur but c’est diriger, avoir l’exclusivité du pouvoir, qu’un théoricien comme Djilas qualifiait de « jouissance suprême ».

    Les intellos soixante-huitards ayant tourné leur veste se sont rapidement rendus compte avec la chute de l’URSS qu’ils avaient encore beaucoup de possibilités d’ascension sociale sous le capitalisme qui n’était pas (pour eux les « sachants ») l’ogre qu’ils pourfendaient dans leurs années de jeunesse... Ces « dirigeants » « révolutionnaires » ont donc continué à diriger... ce pourquoi ils se jugeaient faits depuis le berceau où ils avaient été élevés en ce sens...

    J’en veux pour preuve les cris effarouchés des intellos en général dès que l’on aborde la question de l’égalité salariale dans la société socialiste, égalité qui n’a d’ailleurs jamais existé où que ce soit.... et contre laquelle ils vous objecteront le vieux concept marxiste du « travail simple et du travail complexe » pour justifier le maintien de l’inégalité fondamentale, même sous le socialisme, comme ce fut le cas dans tous les pays dits du « socialisme réel »

    Ce mécanisme du dirigeant, même issu de la base est aujourd’hui bien connu. C’est le spécialiste qui devient indispensable plus l’organisation devient complexe. Il connait tous les rouages de l’appareil et de plus en plus une petite coterie (qui se méfie d’elle-même et en arrive à se combattre) dirige. L’adhérent de base lui, souvent, ne s’intéresse que moyennement à ce qu’il se passe au sommet, n’est pas aussi investi que ceux qui sont devenus avec le temps ses chefs. Plus le temps passe et plus le fossé se creuse entre les dirigeants et les dirigés...

    Il se crée ainsi un intérêt en soi pour les dirigeants qui exigent de bons salaires et de bonnes conditions de vie en général. Pour eux la révolution est faite et ils comprennent de moins en moins les revendications de la base et en arrivent même à les combattre jusqu’à passer dans le camp ennemi si des conditions encore meilleures leur sont proposées...

    C’est grossièrement le chemin parcouru par ces « élites révolutionnaires » de Mai 68 qui ne doivent pas cacher la forêt de toutes celles et tous ceux qui ont gardé leurs convictions d’antan toute leur vie durant. Et qui ne se sont pas battus comme des chacals pour obtenir des postes...



  • jaja jaja 8 février 2018 13:10

    @gruni

    Bonjour Gruni,...

    vous en savez plus que moi sur moi smiley Seul un gros rhume me garde à la maison aujourd’hui... D’ailleurs je merdoie dans mes commentaires avec mon mal de crâne...