• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 943 60763 93803
1 mois 5 300 399
5 jours 1 36 28
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 3231 2472 759
1 mois 21 21 0
5 jours 1 1 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Fergus fergus 27 juillet 2008 18:20

    Très bon article que j’ai lu avec intérêt.

    Cela dit, contrairement à ce que est couramment affirmé, les méthodes de management relevant de cette fameuse "culture du résultat " existent depuis des années (parfois depuis dix ou douze ans) dans la plupart des entreprises publiques. C’est ainsi que l’on y a vu fleurir des "contrats d’objectifs", des "entretiens d’appréciation" et des "primes de résultat " calqués sur le secteur privé, lui même américanisé dans son management. Et comme dans le privé, le public a constaté l’inefficacité de ces méthodes dans la plupart des cas alors que les DRH croyaient avoir décroché le Graal. 

    Deux grandes difficultés s’opposent à la réussite de ce système de management à l’anglo-saxonne largement vulgarisé dans la littérature managériale des années 80.

    La première réside, principalement pour les activités tertiaires, dans la difficulté à élaborer des critères d’évaluation fiables ou ayant même du sens, et cela d’autant plus que, comme l’a souligné l’auteur de l’article, il existe de très nombreux facteurs extérieurs à l’action personnelle de la personne évaluée.

    La deuxième grande difficulté est liée, l’homme étant ce qu’il est, aux phénomènes d’empathie ou d’antipathie qui très souvent polluent l’évaluation et rendent subjectifs les appréciations portées sur l’action des collaborateurs.

    Pour avoir pratiqué l’exercice tant comme évaluateur que comme évalué, j’affirme que le jugement empirique d’autrefois n’était sans doute pas beaucoup moins performant. A cet égard, ce que j’appelle le "syndrome de la gomme" est très largement répandu. Il consiste pour l’évaluateur à maximiser ou, au contraire, à minimiser certains points de la grille d’évaluation pour parvenir grosso modo à un résultat conforme à son jugement empirique. Et cela, je peux vous garantir que c’est une réalité dans bien des boîtes !



  • Fergus fergus 19 juillet 2008 16:55

    Encore faudrait-il faire la différence entre : d’une part sport individuel et sport collectif, le second étant beaucoup plus porteur de valeurs utiles à la communauté ; d’autre part sport amateur et sport professionnel, le second étant désormais complètement gangréné par le fric et son corollaire le dopage quand le premier a conservé son potentiel éducatif et intégrateur, particulièrement chez les jeunes.

    Quant à l’antagonisme entre culture et sport, il me semble totalement stérile et sans le moindre fondement, l’une pouvant être totalement complémentaire de l’autre ou au contraire totalement dissociée sans que cela ait la moindre signification.



  • Fergus fergus 19 juillet 2008 15:58

    D’accord avec la tonalité générale de cet article et avec la plupart de ses conclusions. 

    Cela étant, si la réforme passe et si Sarkozy s’empresse (et il le fera car il en meurt d’envie) de venir pérorer devant les parlementaires, a-t-il mesuré le risque qu’il courra d’être chahuté, voire hué dans l’hémicycle, pour peu qu’il veuille humilier l’adversaire ?



  • Fergus fergus 18 juillet 2008 19:07

    Le pire est que ce jeune, bourré d’alcool pour faire comme ses copains le samedi soir foutra peut-être sa vie en l’air au volant d’une vieille bagnole plus ou moins entretenue conduite par l’un de ses potes de beuverie au retour d’une fête votive où ils se seront pris un rateau auprès des vénus de canton !

    Globalement, je suis assez d’accord sur les difficultés, bien réelles, des jeunes ruraux à sortir de leur condition, et notamment à intégrer une grande école. Mais ce n’est, heureusement, pas le cas de tous, et certains y parviennent à force d’opiniâtreté. Mais comme les poissons volants, "ils ne constituent pas la majorité du genre !" (Audiard dans M. Le Président)



  • Fergus fergus 17 juillet 2008 17:52

    Le pire est que nombre de grands électeurs sont en effet issus des milliers de microscopiques communes rurales dont le rôle électoral est, du fait de ce scrutin inique et anti-démocratique, inversement proportionnel à leur rôle socio-économique.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv