C’est amusant ces nouveaux sens que prennent certains mots aujourd’hui.
Ainsi, le P« S » et l’auteur seraient « sociaux démocrates ».
Donc, si on dresse le bilant de Hollandouille, grand « social démocrate » devant l’Éternel, la « social démocratie » consiste à ne pas respecter le programme de gauche pour lequel on a été élu, à envoyer les flics tabasser les manifestants qui s’opposent à ses mesures anti-sociales (l’éborgnage massif a vraiment commencé à se moment là), à créer des lois « anti-terroristes » pour embastiller les opposants politiques, et j’en oublie probablement...
Donc, dans la novlangue de la droite qui se croit de gauche, être « social démocrate », c’est être anti-social et anti-démocrate.
Mais les mots ont un sens est une histoire. Et si on lit le programme de la FI, on ne peut que constater qu’il s’agit, en l’occurrence, d’un programme social-démocrate, que l’on soit d’accord ou non avec ledit programme.
Quant au PS, il se garde bien d’avoir un programme.
Et ne taper pas trop sur Mélenchon. N’oubliez pas que sans lui, la gauche française aurait subit le sort de la gauche italienne, elle serait morte, tuée par les « sociaux démocrates » du P« S ». En plus, il vient de vous ressuscité après que les « sociaux-démocrates » à la Terra Nova aient trucidé votre parti. Vous n’êtes pas très reconnaissant.
Je ne serai que trop vous conseiller de faire une sérieuse analyse de la situation politique actuelle et de la responsabilité du P« S » et de Hollande dans celle-ci. Parce que manifestement vous n’avez toujours rien compris.
Et je ne crois pas que JLM veut être président. Son intransigeance s’explique très bien si on comprend ce que vous et les « sociaux démocrates » du PS n’avez pas compris : après le désastre Hollande, la gauche n’a plus droit à l’erreur, et ne peut plus se permettre la moindre compromission.. Sinon, c’est le FN au pouvoir.
Je pense que le mot « social-démocrate » a changé de sens dans nos médias et au P« S » lorsque les sociaux démocrates allemands sont devenus de droite avec Schröder. Au lieu de constater ce virage à droite du SPD qui a entrainé une scission avec la création de Die Linke (même chose que plus tard au PS avec le départ de :Mélenchon), on change le sens des mots. Pratique...
L’« holodomor » est une pure invention, très récente. Il y a eu une famine qui a touché toutes les campagnes de l’URSS dans les années trente. L’Ukraine n’a pas été visée. Il est significatif a cet égard de constater que les régions d’Ukraine qui ont été le plus touchées ont été celle de l’est et du sud, plutôt russophile aujourd’hui. Quant aux régions de l’ouest, siège des enragés nationalistes, elles ne faisaient même pas encore partie de l’URSS.
Il n’y avait pas de contentieux russo-ujkrainiens avant que les services occidentaux ne les fabriquent et le promeuvent après l’indépendance. L’Ukraine était considérée comme russe à part entière sous les tsars et a été créée par les soviétiques, bénéficiant d’un traitement de faveur particulier : d’excellentes infrastructures, des industries de pointe, etc. La grande majorité des dirigeants de l’URSS ont été ukrainiens : Brejnev, Andropov, Tcharnienko, Krouchtchev, au point que les Russes se plaignaient d’une « mafia ukrainienne » dans les hautes sphères du pouvoir soviétique.
Il a vraiment fallu dépenser des milliards de dollars pour créer un grief imaginaire de certains Ukrainiens contre les Russes, puisque objectivement, il n’y en avait aucun.
Les centristes et les droitards tiennent trop à leur pognon. Le report de voix dans le sens droite -> gauche a été minable. de l’ordre de 20%, et à plus de 75% dans l’autre sens...
A la proportionnelle les gens n’auraient pas voté de la même façon.
Le score des guignolos plus ou moins alphabétises employés de la PME Le Pen, que, je ne sais pourquoi, vous persistez à appelé « bloc national », est absolument minable, sachant que l’ensemble des médias leur ont servi la soupe pendant des mois.
Vous savez pourquoi Bardella est là où il est ? Parce qu’il est sorti avec une petite fille de Jean Marie. Il est beau le « bloc national ». Quand on ne fait parti de la famille élargie, comme Phillipot, on se fait éjecter vite fait. Faut que le pognon reste dans la famille... C’est que ça rapporte la politique.
« Bloc national » mon luc. Roue de secours de l’oligarchie maintenant que presque plus personne ne veut du libéralisme économique.
A l’inverse, la campagne de dénigrement de la FI a battu des records, des accusations d’antisémitisme à celles d’« extrémisme ». Sur Radio France, c’était du grand n’importe quoi, ces pauvres gens avaient complètement perdu les pédales.
Avec en prime les sondages bidons mentionnés par Lebel pour bien faire passer les macronoïdes comme seuls rempart contre les extrêmes. Le score de LFI est tout à fait remarquable dans ce contexte. Sachant qu’en plus ils ont sacrifiés un paquet de circonscriptions imperdables pour ces sales traitres qui se disent « socialistes » pour pouvoir faire l’union de la gauche. Et maintenant, les « socialistes » croient devoir leur score à leur immmmmense popularité et ne sentent plu, semant la pagaille....
Ce qui est extraordinaire dans cette affaire de « dopage institutionnel » russe, c’est qu’il n’y a aucune preuve matérielle.
Juste le témoignage de trois personnes exclues de la fédération sportive russe pour dopage et fraudes diverses (deux athlètes dopés et le responsable anti-dopage qui les avait blanchi, et c’était fait prendre dans l’opération, tous « réfugiés » aux USA). Ces personnes témoignent ensuite d’une histoire incroyable (au sens propre) de dopage dans lequel des échantillons d’urines disparaitraient à travers des trappes pour être remplacés, etc.
C’est quand même très léger. C’est comme pour les affaires Politovskaïa, Skripal Litvinenko et j’en oublie : pas besoin de preuves, les Russes sont forcément coupables.
Cette histoire de « dopage institutionnel » soulève un certain nombre de questions, dont :
1) Pourquoi s’il y avait bien un dopage d’état en Russie, les « témoins » se sont-ils fait gauler par les autorités anti-dopages russes ?
2) Quel est l’intérêt de ces montages sophistiqués pour des contrôles effectués par les autorités russes compétentes, alors que bon, si lesdites autorités institutionnalisent le dopage, elles ont juste à ne pas rapporter les cas positifs...
Je n’ai jamais eu de réponses à ces questions, ni vu, lu ou entendu aucun journaliste occidental les pauser.