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Dancharr

Retraité occupé au verger, au potager, au rucher, au cellier, au ciné, à rigoler, à s’énerver.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/05/2008
  • Modérateur depuis le 13/05/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Dancharr 6 juin 2008 20:37
    Alors, pardonné ?

     



  • Dancharr 5 juin 2008 12:34

     

    Sandro,
    Depuis le 10 mai une aventure de Thor, mon berger teuton, est en instance. Il s’impatiente. Moi, je l’ai à « Parodie » dans l’espace modérateur. Elle existe sur mon blog avec celles de mes chats
    Thor vous remercie chaleureusement de votre sympathie à son égard.


  • Dancharr 3 juin 2008 21:23

     

    Castor,
    Pas de souci, pas de déprime, mais des vieilles ruminations qui ont envie de prendre l’air et d’empoisonner un peu l’ambiance. C’est mon côté sadique – une déformation professionnelle – qui peine à s’amender : ne fumez pas, buvez moins, mangez moins, ça laisse des traces.
    Surtout, comme dit ma femme : « tu as enfin trouvé à qui parler  ». Même si en retour on se fait engueuler c’est le signe qu’on a appuyé là où ça fait mal. De mon temps, la palpation appuyée à l’endroit sensible, c’était toute la médecine et ça ne se corrige pas.
    J’ai des réserves de rire. J’espère pouvoir vous en faire profiter - et me faire pardonner…
    Amicalement.


  • Dancharr 3 juin 2008 17:47

     

    Gül,
    Merci de votre commentaire.
    Votre émotion me peine et je n’avais pas voulu de tristesse. Par tempérament, je préfère faire sourire. Mais tous les sujets ne s’y prêtent pas. Celui-là vient de loin et je n’ai pas encore la réponse à ma question. Je persévère donc avec mes mauvaises idées.
    Elles ne sont pas très bien comprises car je cite l’état du monde d’aujourd’hui et de demain en dernier, comme une cause que l’on ne peut évacuer mais qui est, somme toute, secondaire car on pourra toujours trouver des endroits où il fera encore bon vivre. Ce que je déplore et ne comprends pas c’est la légèreté de la décision, l’absence de réflexion : Ai-je les qualités qui me rendent apte à créer un enfant qui aura, avec ce que je lui lègue, des chances d’être heureux ? Ai-je les moyens intellectuels, moraux, financiers de réussir son élevage, son éducation ? Je voudrais aussi que l’on cesse de dire : je veux un enfant. L’enfance dure un instant, la vraie vie beaucoup plus et, là, on n’a personne qui nous aide à traverser la rue. J’aime bien le rire du bébé, du petit enfant. J’aimerais être sûr que son rire sera là de 15 à 80 ans. Je préférerais la formule : je veux mettre sur terre un être de qualité, qui ait une belle vie d’adulte. J’aimerais que l’on se demande : en suis-je capable ? Savoir si le monde est en état de l’accueillir est secondaire. S’il est de qualité, le petit homme, la petite femme une fois grand et grande auront celle de le rendre habitable.
    Pour moi, les questions que pose la décision d’avoir un enfant sont davantage d’ordre intellectuel, moral, voire spirituel que matériel. C’est pourquoi les bonnes raisons de Corinne Maier ne sont pas en réalité les miennes. Ni l’état de la terre. Personne ne le relève. Ce sont pourtant les seules – pour moi – qui vaillent d’être discutées.
    J’ai aussi bien conscience - et mon erreur est sans doute de vouloir en faire une règle universelle - que ma position, très subjective, est conditionnée par une forme d’autocritique. Parce que je ne me trouve pas les qualités qui méritent d’être perpétuées, que je me crois assez représentatif d’une humanité moyenne, j’aimerais que mes bonnes raisons soient les siennes…
    Bien cordialement.


  • Dancharr 2 juin 2008 17:29

     

    Olga,
    Mais moi aussi j’adore les enfants et leur sourire, leur joie de vivre. Mais je vois aussi ce qu’ils vont devenir, le monde où ils vont devoir vivre sans l’avoir demandé. Je veux bien que la vie ne vaille que pour le sourire d’un enfant. C’est peu payer les larmes, les malheurs, les souffrances de tous les autres que la vie ne fait pas sourire. C’est ce qui me fait croire qu’il faut un sacré égoïsme, une sacrée amnésie, un sacré aveuglement pour justifier la présence d’un enfant par le plaisir qu’il donne à ses parents, à ses oncles et tantes quand il joue avec eux et qu’il leur sourie. Il le fait aussi parce qu’il ne sait pas dans quelle galère – pour être poli – ces si gentils adultes l’ont précipité. Ils s’exonèrent, les hypocrites, de toute leurs responsabilité dans les calamités à venir, qu’il devra supporter seul, sans personne pour le protéger des bombes, des maladies, du chômage, etc., etc.…
    Pour être franc, je trouve que votre bonne raison ne fait pas le poids face aux miennes.
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