Christophe Claudel

@Louis
Je vous laisse à vos frustrations, vos ressentiments, votre aigreur et vos délires.

@Louis

L’injure et l’outrance ne sont pas une façon acceptable de débattre. Continuez à vous ridiculiser.

Article sans grand intérêt et qui ne fait qu’effleurer le sujet.

Et surtout qui élude les questions essentielles.

Pourquoi un médicament aussi dangereux que la paracétamol, première cause de mortalité par intoxication médicamenteuse en France, continue-t-il d’être systématiquement prescrit en première intention ? Alors qu’il existe beaucoup d’autres analgésiques souvent plus efficaces dans la pharmacopée.
Pourquoi lors de l’infection Covid le Ministère a-t-on ordonné aux médecins hospitaliers de renvoyer chez eux les personnes malades qui se présentaient aux urgences des hôpitaux en les déclarant « non prioritaires », comme les vieux, les obèses, les personnes atteintes d’autres maladies chroniques, en leur donnant juste une ordonnance de Doliprane, au lieu de prendre les moyens de les soigner ?
Pourquoi dans le même temps a-t-il interdit aux médecins de prescrire les traitements avérés efficaces contre le Covid (et toutes les infections à coronavirus), comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine + azithromycine ?
Cette pénurie de la molécule miracle sur laquelle on s’atermoie aujourd’hui n’est-elle pas organisée ?

On connaît les réponses à ces questions qui soulèvent de graves problèmes d’éthique médicale, de politique de santé publique, de corruption des autorités et de choix de société.

On pourrait s’interroger aussi sur l’obstination à prescrire d’autres molécules dangereuses, comme les benzodiazépines dont la France est championne de consommation par habitant. Une classe de médicaments qui a failli être interdite il y a quelques années à cause de leurs redoutables effets secondaires (sans parler de leur inefficacité à soigner les maux pour lesquels on les prescrit), au premier rang desquels la prévalence des suicides parmi les personnes qui en consomment régulièrement. Un retrait d’AMM qui se serait logiquement imposé, si le lobby pharma n’était pas venu à leur rescousse en graissant la patte des institutions de santé corrompues.

@Octave Lebel
Je ne vois pas très bien le rapport avec Eric Zemmour, qui au passage malgré un indéniable talent de polémiste est une créature de Bolloré (ami du pouvoir) et donc fait partie de l’opposition contrôlée (tout comme MLP que j’appelle « la poupée Bilderberg »).
Chercher à étiqueter une opinion en l’assimilant à un courant politique n’a aucun intérêt, l’important est de décrypter ce qui se cache derrière les discours ambiants. Et de garder un esprit libre.

121 « féminicides » en France. Pour 930 homicides en 2021.
Une femme tuée par son conjoint c’est toujours un meurtre de trop. Mais il faut être objectif : la criminalité, en particulier les homicides, et parmi eux les femmes assassinées, est un phénomène en baisse constante. Si l’on rapporte la situation en France aujourd’hui à celle du 18e siècle, celle-ci est incomparable.

Alors pourquoi agiter ainsi les féminicides comme s’il s’agissait du problème numéro 1, en faire une « grande cause nationale », alors qu’il existe tant d’autres causes de décès peu évoquées mais numériquement beaucoup plus préoccupantes ?
Pour servir de symbole à une victimisation des femmes ? Sans doute.
Pour canaliser des indignations réflexe et occuper les esprits en oubliant de parler d’autres réalités plus troubles ? Certainement.

Qu’on songe par exemple aux conséquences catastrophiques des *vaccins" Covid depuis 2 ans. A ces dizaines de milliers de morts subites, de crises cardiaques, d’AVC jamais évoqués par les médias et même niés malgré l’accumulation de statistiques alarmantes partout dans le monde. Une hécatombe qui concerne particulièrement les femmes (Mais aussi les jeunes) et que nos féministes omettent coupablement de dénoncer. Quid de ces jeunes femmes devenues stériles après leur injection ? Ou dont le cycle menstruel est durablement perturbés. Quid de ces multiplications de fausses couches, d’enfants mort-nés ou décédés peu après la naissance ? On pourrait aussi évoquer ces 10.000 vieux euthanasiés au Rivotril grâce aux décrets Véran pendant le confinement, Un génocide d’Etat qui malgré les procès engagés ne suscite pas une indignation massive dans l’opinion.

Indépendamment de la nécessité de protéger les femmes contre le harcèlement et la violence des hommes, il faut se méfier de ces causes montées en épingle et répétées de façon systématique pour saturer le débat.