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Alan C.

Alan C.

Etudiant en Master de Sciences de gouvernement comparées à l'Institut d'études politiques de Grenoble.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/01/2012
  • Modérateur depuis le 18/02/2012
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Derniers commentaires



  • Alan C. Alan C. 2 février 2012 15:38

    Non mais en fait votre raisonnement est totalement invalidé par plusieurs évidences simples :
    - On peut être intéressé par la campagne et ne pas encore savoir pour qui on va voter ;
    - On peut être intéressé par la campagne et ne pas avoir envie de voter pour un candidat ;
    - On peut être intéressé par la campagne et ne pas avoir envie de dire pour qui on vote ;
    - On peut ne pas être intéressé par la campagne et exprimer malgré tout une intention de vote.

    Pas besoin de calculs savant, les répondants ne sont tenus de concilier leur intérêt pour la campagne avec leur capacité à exprimer une intention de vote...



  • Alan C. Alan C. 2 février 2012 15:35

    Si vous aviez bien lu ma fiche vous sauriez qu’en fait les programmes, et tout particulièrement celui du Front de gauche, je les connais assez bien.

    Le fait que la progression de JLM est largement postérieure à l’effondrement de Joly. Il n’y a donc aucune espace de lien logique entre les évolutions des intentions de vote en leur faveur... Plusieurs analyses ont mis en évidence une certaine forme de vases communicants entre les électeurs de Bayrou en 2007 et ceux d’EELV par exemple. De la même manière, il est assez commun que des électeurs de gauche votant verts lors des élections de second ordre se retrouvent sur la candidature socialiste lors de la présidentielle, pour une raison simple : les écologistes ne sont pas jugés crédibles en tant que force de gouvernement.
    Les programmes c’est une chose, le comportement des électeurs, c’en est une autre ! Si les électeurs votaient logiquement en fonction de leurs convictions profondes et de leurs intérêts de classe, Sarkozy n’aurait jamais été élu !



  • Alan C. Alan C. 1er février 2012 21:14

    D’un point de vue purement électoral, la droite est majoritaire au premier tour à toutes les élections présidentielle et législatives depuis 1986, si l’on inclut le FN dans le total des voix de la droite. 40% pour le total des voix de gauche c’est donc une performance honnête. Les victoires dont sont crédité Hollande au second tour sont dues aux reports d’une part non-négligeable d’électeurs de Bayrou et de Le Pen qui sont des candidats de droite, mais dont les électeurs ne votent pas tous en bloc pour Sarkozy au second tour, loin s’en faut.



  • Alan C. Alan C. 1er février 2012 21:06

    Alors juste deux choses :
    - le PG n’est une secte, ses militants ne sont pas tenus de dire amen à tout ce qui s’y dit et à tout ce que ses porte-paroles peuvent déclarer. Les enquêtes d’opinion sont reconnues, dans le milieux universitaire, comme une pratique recourant à des méthodes scientifique d’agrégation de données. La méthode des quotas est pertinente d’un point de vue scientifique, les sondage, qu’ils portent ou non sur des intentions de vote, restent donc des outils crédibles.

    - Généralement, les enquêtes dont je parle dans cet article admettent une marge d’erreur compris entre deux et quatre points. Il se peut donc très bien que Jean-Luc Mélenchon, par exemple, soit sous évalué de deux points, et qu’il soit en réalité soutenu en moyenne par 9,7 % de la population sur l’ensemble du mois de janvier...

    Autre exemple d’application des marges d’erreur :
    Le sondage Ipsos des 17 et 18 avril 2002 donnaient Chirac à 20%, Jospin à 18% et Le Pen à 14%. Le Pen a donc été sous-estimé d’un peu moins de trois points, Jospin sur-estimé d’environ deux points : on se situe dans les marges d’erreur. Chirac avait quant à lui été parfaitement anticipé à un poil près. C’est pas une science exacte, mais quand on lis les sondages avec une bonne lunette, on se rend généralement compte qu’ils ne sont pas si foireux que ça...



  • Alan C. Alan C. 1er février 2012 20:56

    Non c’est une moyenne, pas une fourchette : Le Pen obtient au minimum 16 % d’intentions de vote, et 20 % au maximum (selon l’Ifop et Harris). La fourchette basse, donc, c’est 16 %. Comme je l’ai dis il est risqué de spéculer sur le score final du FN : en 2007 certains sondages donnaient Jean-Marie à 16, et il a finalement obtenu 10,4. En outre la situation actuelle est très différente de celle de 2002 : les candidats sont beaucoup moins nombreux, et les voix sont beaucoup moins émiettées.

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