Bibracte, Gergovie, erreurs de traduction et de localisation. Nouvel appel à Mme la Ministre de la culture
Je ne suis, certes, qu'un citoyen parmi d'autres, mais mon droit de citoyen est de pouvoir adresser une question écrite ou orale au gouvernement par la voix de mon député. C'est ce que j'ai fait, trois fois ; réponses parues au journal officiel : JO du 19/4/99, pp.2337-2338, JO du 2/07/01 page 3835, JO du 11/06/13 page 60777 ; trois questions écrites, trois réponses "langue de bois".
Bibracte et Gergovie font actuellement la une sur l'internet... hélas ! aux mauvais endroits : le premier site à la lisière d'une forêt éloignée de tout, le second sur un plateau désert. Grand merci au commentateur de mes articles, Rinbeau, pour sa redécouverte de cartes anciennes que, manifestement, la communauté scientifique semble avoir oubliées.
Sur l'une, en bas, à droite, confirmation de mes écrits, la véritable Bibracte ne se trouve pas au mont Beuvray mais à Mont-Saint-Vincent, ancienne position forte des comtes de Chalon, proche de la ville... logique !
Et voici que sur une autre, la ville/port de Chalon est désignée sous le nom d'Alexia, l'Alésia de Diodore de Sicile, métropole de la Celtique, confirmation irréfutable de mes écrits.
https://gallica.bnf.fr/ark :/12148/btv1b84919444/f1.item.r=Ortelius,%20Abraham.zoom
Xème siècle avant JC, entre 966 et 959, construction du temple de Salomon sur le point le plus haut du mont Sion de Jérusalem. Construit à son image, le temple de Bibracte, à Mont-Saint-Vincent.
Plaque en ivoire sculpté, extrait ; art de Chalon, volée par Attila, actuellement dans un musée allemand ; seul document existant, ignoré, montrant la ville de Jérusalem avant sa destruction.
Ier siècle avant JC (?) : Installation à Sepphoris - Palestine nord- d'un conseil nommé Joseph en souvenir du Joseph d'Égypte (ma thèse), puis d'une colonie nommée "Jésus". Evangiles de l'enfance dits apocryphres de Thomas l'Israëlite. Histoire réelle et classique des relations difficiles entre une cité/mère et sa colonie/fille ou fils, entre le conseil Joseph et le conseil Jésus, histoire racontée comme un récit d'enfance.
En 88 avant JC, Alexandre Jannée, roi des Juifs et grand prêtre de Judée - Palestine sud - ramène de Béthon (Bethsaïde en Galilée) à Jérusalem huit cents prisonniers... Alexandre Jannée fit dresser huit cents croix. Face à ces huit cents croix, on avait préparé la table du festin pour fêter la victoire du roi. Alexandre Jannée était allongé parmi ses concubines... buvant. On éleva les huit cents hommes sur le bois et on les crucifia. On égorgea sous leurs yeux leurs femmes et leurs enfants qui se traînaient à leurs pieds. Flavius Josèphe ajoute qu'après cette répression, 8000 Juifs s'exilèrent.
Question : dans quelles villes de la diaspora juive, ces 8000 Juifs esséniens de Galilée (pseudo : Simon) se sont-ils exilés ? Réponse : en Gaule, 4000 à Bibracte, plus précisément à Gourdon, 4000 à Gergovie, plus précisément à Mozac.
Mozac : portant la Torah, le bâton de Moïse et la croix des crucifiés, ils y sont accueillis par une ancienne colonie juive.
Qui sont les auteurs des fresques de Gourdon ? Réponse : les Juifs exilés précités, esséniens de Galilée ou leurs descendants. Quel est ce Cléopas, premier Sauveur, qui se fera reconnaître par l'offrande du prépuce ? Probablement est-ce le nom d'une cohorte gauloise de l'armée romaine engagée en Palestine, en 63 avant notre ère : on y a trouvé, en Judée, des tombes sur lesquelles ce nom est inscrit.
En - 58 , ci-dessous, espérance de la venue d'un sauveur avant l'arrivée de César en Gaule, Dumnorix, frère de Divitiac, druide suprême de la Gaule ; il descend du ciel dans la constellation du lion.
En - 47, Hérode et la légion Alauda de Bibracte et de Gourdon sont en Galilée. C'est le retour des esséniens exilés "Simon" auprès des esséniens "Simon" restés à Gamala/Bethsaïde (ma thèse). Prise de Sepphoris, ancienne Nazareth historique ; fuite de Judas le Galiléen de Sepphoris à Gamala.
En - 19, construction du temple d'Hérode, à Jérusalem, sur l'actuelle esplanade des mosquées.
En - 4, à la mort d'Hérode le Grand, en quelle ville de la diaspora juive, Jacques a-il écrit son protévangile ? Je réponds et j'affirme : en ville de Chalon. Quelle est la Marie dont il parle ? la population juive, essénienne, immigrée, des fresques de Gourdon. Qui est l'enfant sauveur espéré qui sortira d'elle ?...un nouveau David ?
Le tombeau est toujours là, dans l'église de Gourdon, en entrant, à droite ; toujours fermé, sans inscriptions.
En 21 : à Augustodunum, Mont-Saint-Vincent, antique Bibracte, révolte de Sacrovir, l'homme qui est dans le sacré.
De l'an 30 à 48, évangiles esséniens de Judée - noms code : Jean, Marc, Luc et Mathieu.
En l'an 38, en Palestine, Luc 24:18 essaie de convertir au Jésus de son évangile le Cléopas gaulois des fresques de Gourdon qui rejoignait son lieu de garnison d'Emmaüs.
En 68 : à Mont-Saint-Vincent, antique Bibracte, alias Augustodunum, le Gaulois Vindex soulève une partie de l'empire judaïsé contre l'empereur Néron.
En 70 : prise de Jérusalem par l'empereur romain Titus et sa destruction.
En 260 : à Chalon-sur Saône, fondation de la cathédrale, "le plus beau temple de l'univers" selon le rhéteur Eumène (panégyrique à Constantin, Constance-Chlore), Salonin, empereur enfant, siège à Chalon. Construction du monument sous les empereurs gaulois, Postumus (260 - 269) et Victorinus (269 - 271). Assassinés lors d'une sédition militaire, les deux Victorinus, le père et le fils, sont sculptés en haut d'une colonne. Ils portent l'étole des grands prêtres juifs et la couronne des empereurs romains. Dans le choeur, à droite de l'autel, recevant la lumière du soleil levant, le messie apparaît en haut d'une colonne faisant le signe annoncé par les textes de Qûmran, le drapeau blanc des esséniens derrière lui. Il met la main gauche sur le pain consacré et de la droite, bénit la communauté.
(Photo : Cees van Halderen).
Ci-dessous, à l'époque de l'empereur gaulois Postumus (260-269), un étonnant rétable sculpté nous montre un repas de type essénien. On y voit, à la droite du messie qui doit venir, un Judas avec sa bourse, siègeant à une place d'honneur ; je dis bien : "à une place d'honneur"... à côté de la population de Chalon. L'empereur Postumus les entoure de ses bras.
D'un côté, une nourriture abondante et variée. Du côté des convertis aux évangiles, arêtes de poisson et assiettes vides ; Marie-Madeleine, le linge de cueillette également vide.
En 271 : à Bordeaux, Tetricus est empereur gaulois. Le tympan de Sainte-Foy de Conques est-il son oeuvre ? Le roi des Juifs, REX IUDEORUM, qui, en - 84, n'est pas apparu pour sauver les 800 esséniens de Galilée crucifiés par Jannée, il apparaîtra dans le ciel, en "Roi Juge", à la fin des temps. (H)OC SIGNUM CRUCIS ERIT IN CELO CUM, ce signe de la croix apparaîtra dans le ciel quand...
L'inscription sibylilne XPISTO du tympan ne désigne pas le Christ des évangiles, mais le roi juge qui trône dans le ciel. Voyez à sa droite, la société idéale que propose Tétricus à la Gaule. D'abord, l'Église en Marie pieuse et servante du Seigneur Dieu, le pape, puis l'empereur gaulois Tetricus en tenue de Moïse, marchant comme un pélerin, son fameux bâton à la main. C'est une révolution comparée à la tenue chamarée des empereurs romains assis sur leurs trônes. Puis l'évêque tout puissant, les clercs, les rois apportant docilement la dîme ; puis le peuple pieux dans sa diversité. Et les historiens osent dire que la Gaule était devenue complètement romaine et ceci, alors qu'en 68 déjà, Vindex soulevait les deux tiers de l'empire contre Néron... depuis le temple de Mont-Saint-Vincent - Bibracte - frère ou soeur de celui de Salomon.
En 274 : Nous sommes à la fin du IIIème siècle. Victorinus, l'empereur gaulois éduen a été assassiné dans un soulèvement militaire. A l'appel de Victorina, Tétricus prend le titre et marche sur Chalon pour y rétablir l'ordre gaulois. Venues du Rhin, les légions romaines l'emportent... première bataile des champs catalauniques, à Chalon-sur-Saône, au pied de la tour de Taisey, entre une armée romaine venue du Rhin de l'empereur romain Aurélien et l'armée gauloise venue d'Acquitaine de l'empereur gaulois Tetricus. Divisées, les anciennes troupes gauloises de Postumus et Victorinus sont battues ainsi que celles de Tétricus venues à leurs secours. Fin du rêve d'un empire gaulois.
En 296 : nouvelle espérance de sauveur : Constance-Chlore, César des Gaules, siège dans son palais de Bibracte/Mont-Saint-Vincent. En 296, il a ramené de son expédition en (grande) Bretagne de nombreux prisonniers. Ce sont ceux-là et d'autres qui lui ont permis d'engager de grands travaux dont la basilique d'Autun. Son fils, le futur Constantin, est agé d'environ 24 ans. Les chapiteaux de la basilique le présente comme le messie annoncé.
En 350, nouvelle espérance de sauveur. A l'issue d'un banquet, à Augustodunum (Bibracte/Mont-Saint-Vincent), Magnence, barbare d'origine lète, est proclamé empereur. Sa basilique de Saulieu relate son ascension. A gauche, l'ange annonce aux femmes/populations que les deux sauveurs précédents, celui de Gourdon et celui d'Autun, sont ressuscités ; leurs tombeaux sont vides ; les linges mortuaires témoignent. A droite, le nouveau sauveur apparaît aux femmes ; c'est le futur empereur d'origine lète : Magnence.
En 361 : nouvelle espérance de sauveur : Julien, empereur, à Vézelay.
En 449 : cathédrale primatiale Saint-Jean de Lyon ; évêque Patiens, ami de Sidoïne Apollinaire ; nouveau sauveur. Il s'est représenté dans le chaudron gaulois, prenant le bain rituel.
En 455 : nouvelle espérance de sauveur : Avitus, empereur. Sa basilique : Notre-Dame du Port. Gergovie, Marie, Elisabeth, Jean, c'est un appel au retour du roi David.
En 481 : Clovis, roi des Francs.
En 800 : Charlemagne.
Extraits de mes ouvrages et articles Agoravox. Photos : principalement Wikipédia, droits d'auteur possibles. Emile Mourey, 90 ans.
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