Il est plus facile de façonner et
d’infléchir l’opinion publique et même les « zélites »en
jouant sur les émotions et la démagogie que de s’appuyer sur des
faits avérés (cf. Colin Powell le 5 février 2003 à l’ONU, où il
apporté des « preuves » reconnues comme fabriquées par la
suite de la production d’armes de destruction massive par l’Irak).
Mais les mensonges, les détournements
de vérité et les fausses informations existaient en politique bien
avant l’ère du numérique à tel poins que ce comportement fréquent
repose sur une pathologie répandue, l’agnotologie, production
délibérée du mensonge et de l’ignorance, la
science du faux..