@pipiou2

Bonjour, Je réponds sur plusieurs points de votre commentaire. 

Déjà, historiquement la « volonté de détruire Agoravox » a clairement été exprimée par des individus fréquentant ce site qui se sont regroupés ailleurs pour dénigrer. Je ne vais pas vous faire un dessin. 

Je n’ai jamais prétendu que ce site était dangeureux.

Non ! non, il ne s’auto-détruit pas. Il est victime d’une volonté de le faire disparaître ou bien de l’affaiblir. 

Ce n’est pas non plus un site collaboratif. C’est un forum de discussion libre. Ce n’est pas non plus une auto-organisation. Il est parfaitement organisé, piloté par qui ? Je n’en sais rien et ne veux pas le savoir, ce n’est pas mon problème. 

La copropriété je sais de quoi on parle, il y a cacophonie lorsqu’un petit groupe veut prendre les commandes et s’accroche comme des morpions à leur bout de gras ! Empêchant les autres de faire le job de délégué syndical pour lequel il ont été élus dans l’intérêt commun. C’est vrai qu’il y a des similitudes ente les deux. 

Le fait qu’il y aient des commentaires émanant d’autant de visions contradictoires, devrait nous réjouir tous.

Le problème se trouve dans la volonté de dénigrement perpétuels que j’ai observé tout au long de ces années et qui rend si difficile certains auteurs de se faire valider.

Il est dans le fonctionnement cérébral de certains de « censurer » pour empêcher les auteurs de s’exprimer, et parfois, même des articles tout à fait neutres, politiquement, sociologiquement, et de beaux textes, qui n’abordent ni la politique, ni d’autres sujets clivants.
Je l’ai déja dit : ils restent en carafe. Pourquoi ? 
Parce qu’une bande de sales gosses l’a décidé. Cette bande s’est largement faite remarquer sur Agoravox, ils sont reprérables, et pas très malins en fait.

Dernièrement, nous avons pu remarquer qu’un triumvirat sévissait avec un triomphalisme de très mauvais aloi, très infatués et qui depuis hier pleunichent. J’ai presque envie de dire à ces larmoyeurs, c’est trop tard, les gars, vous êtes dénichés ! 

Bien à vous.