@Gégène
il parait que dans la notion de « degré », la seule subtilité consiste à savoir s’il s’agit d’un chiffre pair ou impair : le troisième degré revient au premier comme le cinquième revient au troisième et le quatrième au second, et ainsi de suite…
pas besoin de se torturer les méninges pour justifier a posteriori l’absence de recul et se rattraper aux branches en prétendant qu’on est très intelligent et qu’on est tellement subtile que seuls quelques esprits élevés peuvent apprécier alors qu’on a proféré une banalité, un truisme, une platitude
il n’y a que Le Gendre pour être « trop intelligent ».