Le principal bilan, c’est le constat que, contrairement aux affirmations selon lesquelles la constitution garantissait l’indépendance du pays (vis-à-vis de l’OTAN, par rapports à la filière nucléaire, sur le plan monétaire, etc.), l’adhésion à l’UE contrôlée par les Etats-Unis, nous somme aujourd’hui soumis à la règle de subsidiarité et aux décisions de la commission européenne. L’exemple le plus flagrant est l’indexation du prix de l’électricité sur le prix du gaz imposé par l’Allemagne alors que les systèmes de production de l’électricité dans les deux pays répondaient à des stratégies différentes et reposent toujours sur des mécanismes différents.