@Nicole Cheverney
Avec une constitution parlementariste, le virage libéral aurait été le même. Par contre, notre constitution aurait pu permettre l’émergence d’un président moins aligné avec le système, encore faut-il qu’il passe les éliminatoires du premier tour et la finale du second.
Et par ailleurs la scie sur la loi de 1973 est un contre-sens total qui ressort en boucle, mais ce n’est qu’avec Maastricht que les avances de la BDF ont été supprimées, elles n’étaient auparavant qu’encadrées, mais ont été utilisées de manière décroissante puis interrompues en 83 du fait des attaques contre le franc.
Rocard le savait évidemment, mais il lui fallait un prétexte pour justifier plus tard ses échecs. Asselineau le sait aussi, mais il a besoin d’un exutoire symbolique (il doit parfois rigoler en douce de la crédulité de ses adpetes).