Bonjour, l’auteur
Je ne crois pas qu’il faille, comme dit l’adage populaire, « chercher midi à quatorze heures » : face à l’offensive ukrainienne (soutenue par d’importants moyens de l’Otan), les Russes — dont l’armée est manifestement mal préparée, mal équipée et mal servie par des soldats peu motivés — n’était tout simplement pas en mesure de tenir une ville de la taille de Kherson en se plaçant de surcroît pour tous les ravitaillements (civils et militaires) sous le feu ennemi lors des traversées du Dniepr.
Désormais, les Russes vont tenter de tenir la rive gauche du fleuve en espérant couper la route de la Crimée aux Ukrainiens.