Bonjour, robert
J’applaudis des deux mains cette sage réflexion, moi qui suis radicalement contre les hymnes nationaux aux JO, et bien sûr totalement opposé à ces pathétiques démonstrations drapeau en mains, cd qui naguère était d’ailleurs interdit.
« pas celle d’un pays ». A nuancer quelque peu toutefois : les athlètes sont quand même redevables à leur fédération et à leur comité olympique national des conditions d’entraînement et de soins dont ils ont pu disposer. Il est vrai également qu’ils sont surtout redevables à leurs... sponsors.