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François Asselineau

François Asselineau

François Asselineau 58 ans, est le président fondateur de l'UPR (Union Populaire Républicaine), mouvement politique qu'il a créé en mars 2007 pour convier tous les Français à se rassembler provisoirement, en dehors du clivage droite-gauche, afin de faire sortir au plus vite la France de l’Union européenne, de l'euro et de l'OTAN.

Diplômé d'HEC Paris, vice major de l’ENA, Inspecteur général des finances, il a été membre de cabinets ministériels (notamment auprès de Gérard Longuet, ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur, et d’Hervé de Charette, ministre des affaires étrangères) puis directeur de cabinet du président du Conseil général des Hauts de Seine Charles Pasqua de 2000 à 2004.
François Asselineau a également été Conseiller de Paris, de 2001 à 2008, et Délégué général à l’intelligence économique à Bercy de 2004 à 2006.

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  • Premier article le 12/10/2010
  • Modérateur depuis le 21/10/2010
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Derniers commentaires



  • François Asselineau François Asselineau 22 mars 2014 20:03

    Naturellement, « Isga » s’est senti visé par mon message précédent et il a eu raison. Comme tous les « corbeaux » anonymes, il ne trouve de réponse que dans l’ironie et la pirouette. Jamais de réponse sur le fond, bien sûr.

    Car les messages qu’il envoie régulièrement témoignent d’une malhonnêteté intellectuelle, d’une outrance, d’une fausseté de jugement, d’une volonté d’amalgame, et d’un parti pris tellement constants qu’ils ne sont pas naturels. Tout comme les textes postés par « Topaze » ou quelques autres ici même, les messages d’« Isga » sonnent faux parce qu’ils sont sur commande et toujours sous pseudo.

    Là où ces petits « corbeaux » anonymes prétendus « antifas » ont tout faux, c’est lorsqu’ils croient que le lecteur tombe dans le panneau de leurs messages « antifas ». Ils méprisent l’intelligence du lecteur, mais ils ont tort. Car, même si un lecteur peut se faire piéger quelque temps, vient toujours le moment où l’absurdité clownesque de leurs critiques les démasque.

    L’analyse qui vient d’être mise en ligne par Le Grand Soir décortique cette manipulation pour de bon, de façon très précise et documentée :
    http://www.legrandsoir.info/indymedia-paris-et-les-antifas-soumis-au-detecteur-de-mensonge.html



  • François Asselineau François Asselineau 22 mars 2014 19:43

    @Legrind
    Votre remarque est parfaitement judicieuse.
    Les pseudos « antifas » :

    1°) dénoncent comme « fascistes » toute personne s’attaquant à la politique hégémonique et liberticide de Washington, à l’OTAN, et au glacis géopolitique américain en Europe appelé « construction européenne » pour enfumer les peuples d’Europe.

    2°) mais ne dénoncent jamais comme « fascistes » tout mouvement, dès lors qu’il sert les intérêts de Washington.

    ------

    Ces deux lignes directrices expliquent pourquoi :

    a) l’UPR et moi-même sommes régulièrement traités « d’ultra-droite » ou « d’extrême-droite » par les officines dites "antifas, de même que par une poignée d’internautes ici même, sur Agoravox, que tous les lecteurs connaissent bien.
    Ils font le « job » que leurs commanditaires leur demandent.

    b) en revanche, les mêmes « antifas » sont muets comme des carpes devant les bombardements de l’OTAN en Libye, les déstabilisations de la Syrie, le coup d’Etat en Ukraine organisé par Washington avec des néo-nazis, les commémorations pour les Waffen-SS dans les pays baltes, etc.

    --------------------------------------------------

    Cette grossière manipulation des « antifas » saute désormais aux yeux de tout le monde. Elle fait désormais rire de pitié.

    Elle vient d’ailleurs de faire l’objet d’un article très intéressant dont le conseille la lecture :
    http://www.legrandsoir.info/indymedia-paris-et-les-antifas-soumis-au-detecteur-de-mensonge.html



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 16:12

     @Par soi même

    Je vous remercie pour l’intérêt que vous portez à l’UPR.

    L’UPR ne présente en effet pas de candidats aux élections municipales.
    Pour trois raisons :

    1°) nous n’avons pas assez d’argent ni d’adhérents pour pouvoir nous présenter raisonnablement à ce type d’élections ;

    2°) les élections municipales sont d’abord fondées sur des enjeux locaux et reposent sur le clivage droite-gauche.

    Ce type d’élections n’est donc guère approprié à un mouvement comme le nôtre, qui regroupe des Français au-delà du clivage droite-gauche dans le but provisoire de sauver la France, sur le modèle du Conseil National de la Résistance de 1944.

    Quitte à forcer le trait, imagine-t-on que, si Pétain avait organisé des élections municipales en 1941 en « Zone libre », on ait vu fleurir des listes « CNR » ou « France Libre » à ces élections ? Evidemment non.

    3°) en 2014, ces élections interviennent quelques semaines seulement avant les élections européennes, auxquelles, en revanche, nous allons présenter des listes.

    Nos moyens ne nous permettant pas de participer à plusieurs élections de suite, nous avons bien sûr préféré nous présenter aux élections européennes, qui correspondent parfaitement à notre but puisque ce sont les seules élections où le public s’intéresse vraiment à la question européenne.

    ------------------------------

    A ceux qui font mine de s’étonner qu’un parti anti-UE comme le nôtre participe à des élections européennes, nous répondons :

    a)- que c’est un moyen pour nous de gagner en notoriété nationale,

    b)- que nous avons des partis similaires dans d’autres pays d’Europe qui vont également se présenter pour sortir de l’UE (cf. notre participation au colloque de l’EPAM en Grèce en décembre 2013)

    c)- que les élections européennes sont les seules élections où l’on peut voir surgir un mouvement anti-UE, comme l’a prouvé notamment le UKIP au Royaume-Uni par exemple (quoi que l’UKIP ait des différences substantielles avec nous, son atlantisme et son positionnement très à droite notamment, alors que l’UPR veille à rester au-dessus du clivage droite-gauche je le souligne de nouveau).

    d)- que si nous ne nous présentions pas, nous laisserions la voie libre soit à l’abstention (ce qui ne gêne aucunement les européistes), soit à des mouvements-leurres comme le FN.

    e)- enfin, que c’est la réponse logique à tous les partis européistes qui se présentent à nos élections nationales, en ayant à l’esprit l’idée de détruire la nation France de l’intérieur. Objectif explicitement énoncé désormais par EELV.

    Puisque les européistes participent aux élections nationales avec pour objectif de détruire la nation française, nous allons nous présenter, nous, aux élections européennes avec pour objectif de détruire l’UE.

    Bien à vous,
    FA



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 09:29

    @Doume65
    Le « grand marché transatlantique » est de la compétence partagée de plusieurs ministères, dont le ministère des finances, mais aussi le ministère des affaires étrangères, évidemment. Il s’agit d’une négociation au long cours, où M. Fabius n’est certes pas le seul responsable, mais où il aurait toute sa place pour attirer l’attention du chef de l’Etat sur la folie que représente la signature d’un tel accord pour les intérêts de la France.

    L’affaire de l’avion du président Morales est d’un tout autre genre. C’était une affaire ponctuelle où le ministère des affaires étrangères a été court-circuité, semble-t-il. La décision, pour le moins irréfléchie et hâtive, d’interdiction de survol du territoire national, a été prise, nous a-t-on dit, par la directrice adjointe du cabinet de M. Ayrault, Premier ministre.

    Bien que chacun puisse avoir son avis, il nous semble donc justifié de faire grief à M. Fabius de son inaction dans le dossier au long cours du « grand marché transatlantique », mais de ne pas lui reprocher la décision sur l’avion du président Morales qui a été prise, en quelques instants à l’occasion d’un événement fortuit, ni par lui, ni par quelqu’un placé sous son autorité.



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 00:18

    @Maurice
    C’est délibérément que nous n’avons pas cité l’affaire de l’avion du Président Morales parce que la décision de lui interdire le survol du territoire français n’a pas été prise par le Quai d’Orsay, mais par le cabinet du Premier ministre.

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