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Les commentaires de François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 9 juillet 2014 09:34

    @Claude-Michel

    Vous avez prétendu que mon analyse sur l’envolée du chômage sous Sarkozy était fausse. Vous nous avez produit des chiffres sur la prétendue baisse du chômage sous Sarkozy, dont tout le monde sait intuitivement qu’elles ne correspondent à aucune réalité. Vous ne les n’avez d’ailleurs assortis d’aucune source.

    Je vous ai aussitôt répondu en vous donnant, moi, mes sources.
    Elles n’ont d’ailleurs rien d’anti-sarkozystes puisqu’il s’agit d’Europe 1.
    Et en réponse, vous m’insultez en me traitant de menteur et de manipulateur....

    Il est curieux que vous ne mesuriez pas à quel point cette réponse insultante achève de vous décrédibiliser aux yeux des lecteurs. Vous devriez méditer cette maxime de Confucius : « Ne pas reconnaître son erreur, voilà la véritable erreur ».

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 9 juillet 2014 09:17

    @Topaze
    Plutôt que de m’insulter, vous feriez mieux de lire les analyses très précises produites par l’UPR sur la question de la manipulation des chiffres du chômage :
    https://www.upr.fr/actualite/france/les-artifices-statistiques-de-la-baisse-du-chomage-quand-la-boite-outils-presidentielle-se-transforme-en-bidouillage-par-charles-henri-gallois

    S’il y a quelqu’un qui a des problèmes de « cheville » et « d’égo », ce n’est pas moi mais vous qui, du haut de votre anonymat, n’apportez rien d’autre au débat que l’insulte.



  • François Asselineau François Asselineau 8 juillet 2014 22:01

    Je maintiens totalement mon article est les données qui y figurent.
    Sur les cinq années de présidence Sarkozy, le chômage est passé de 8% à 9,4% de la population active.
    Pôle Emploi a recensé 747.000 chômeurs de catégorie A de plus en métropole, un chiffre en hausse de 35%.
    Source : http://www.europe1.fr/Economie/Chomage-quel-est-le-bilan-de-Sarkozy-1057865/

    Du reste, ces chiffres ont été manipulés à la baisse par des artifices de présentation.
    Le nombre de sans emploi et de sous-emploi en France est beaucoup plus élevé.

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 8 juillet 2014 21:56

    @Fergus

    Je me demande si vous avez lu attentivement mon article. Je reprends donc brièvement ma démonstration :

    1)- la plupart des plus gros États du monde - en population et en superficie (ce que j’appelle les « États mastodontes ») sont mal classés dans le classement du revenu moyen par habitant.
    Je donne une série d’exemples précis, que l’on peut d’ailleurs étoffer : si vous consultez le classement établi par le CIA World Factbook, vous constaterez vous-même que, dans ce classement mondial  :
    - la Russie se classe à la 77e place sur 228 États et territoires recensés
    - le Brésil se classe à la 105e place
    - la Chine se classe à la 121e place
    - l’Indonésie se classe à la 158e place
    - l’Inde se classe à la 169e place
    - le Pakistan se classe à la 177e place
    - le Nigéria se classe à la 180e place
    - le Bangladesh se classe à la 194e place.

    2)- de nombreux petits États, beaucoup plus petits que la France, font mieux que notre pays, lequel se classe 39e.

    3)- parmi ces nombreux petits États, il y en a certes qui doivent leur classement en tête de liste à des activités financières, ou commerciales, ou à des ressources pétrolières ; mais il y en a aussi beaucoup d’autres pour lesquels ce n’est pas le cas, j’en ai donné une liste.

    4)- j’aurais pu ajouter que de gros ou très gros États disposent de ressources en matières premières énergétiques colossales et que cela ne les empêche pas d’être mal, voire très mal classés : la Russie (77e), le Venezuela (99e), la Chine (121e), le Turkmenistan (122e), l’Irak (141e), l’Angola (147e), l’Indonésie (158e), etc.

    5)- j’en conclus qu’il n’existe donc aucun lien scientifiquement prouvé entre la taille d’un pays en population et en superficie d’un côté, son revenu moyen par habitant de l’autre côté (je le montre aussi pour le taux de croissance le taux de chômage).

    J’estime que, contrairement à ce que vous dites, cette conclusion est on ne peut plus pertinente.

    Sinon, il vous appartient de nous prouver l’inverse, à savoir que plus un État serait gros en population et en superficie, et plus sa richesse par habitant, son taux de croissance et son taux d’emploi seraient élevés.

    Or vous ne pourrez pas le prouver car cette corrélation n’existe pas.

    C’est un constat capital car il ruine l’un des arguments les plus constants des européistes, qui veulent nous faire croire qu’il serait impératif de « construire l’Europe » pour être « à la taille de la mondialisation ».

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 22 mars 2014 21:14

    « Isga », un « troll marxiste » ?

    Sacré « troll marxiste » qui passe son temps, jour après jour, mois après mois, à venir défendre systématiquement les dirigeants de Washington, quels que soient les « bombardements humanitaires » et les coups d’Etat qu’ils puissent organiser pour assurer leur mainmise sur les ressources planétaires et les profits de Wall Street.

    Sacré « troll marxiste » qui passe son temps à cracher sur la France, alors que les communistes de la Résistance, comme leurs aïeux révolutionnaires vis-à-vis des Cours d’Europe, se battaient au contraire pour la France parce qu’ils savaient qu’il faut une nation française forte pour pouvoir s’opposer efficacement à la volonté de domination planétaire de la grande puissance impérialiste du moment.

    Sacré « troll marxiste » qui prend ici fait et cause contre mon article, en éludant vilainement et piteusement la question de fond, qui est notre dénonciation du soutien de la France à des responsables estoniens qui donnent comme « exemple » le combat des Waffen-SS contre l’URSS.

    Sacré « troll marxiste » qui soutient le coup d’Etat en Ukraine organisé par le parti explicitement « national-socialiste » Svoboda.

    Sacré « troll marxiste » qui approuve le nouveau pouvoir à Kiev dont les premières mesures consistent à se plier à la privatisation généralisée des grandes infrastructures, demandée par le FMI, au profit de sociétés « marxistes » bien connues comme l’Américain Chevron, ou des conglomérats allemands et finlandais.(cf. http://www.pcfbassin.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=15914:ukraine-les-autorites-de-crimee-accusent-kiev-de-brader-lukraine-au-fmi-et-aux-usa&catid=37:russie&Itemid=8)

    Sacré « troll marxiste » qui ose me décrire comme un « danger pour la démocratie » parce que le mouvement politique que j’ai créé - qui regroupe d’ailleurs aussi des anciens communistes - dénonce la collusion des autorités françaises avec les néo-nazis ukrainiens et baltes....

    Non, « Isga », tout le monde a parfaitement compris que vous n’êtes pas un « troll marxiste ».

     Lisez donc cette longue analyse qui vient d’être publiée par le Grand Soir sur les pseudos « antifas » : dites-vous bien que des dizaines de milliers d’internautes sont en train de la lire. Cela vous évitera le ridicule d’essayer de nous prendre pour des jambons : http://www.legrandsoir.info/indymedia-paris-et-les-antifas-soumis-au-detecteur-de-mensonge.html



  • François Asselineau François Asselineau 22 mars 2014 20:03

    Naturellement, « Isga » s’est senti visé par mon message précédent et il a eu raison. Comme tous les « corbeaux » anonymes, il ne trouve de réponse que dans l’ironie et la pirouette. Jamais de réponse sur le fond, bien sûr.

    Car les messages qu’il envoie régulièrement témoignent d’une malhonnêteté intellectuelle, d’une outrance, d’une fausseté de jugement, d’une volonté d’amalgame, et d’un parti pris tellement constants qu’ils ne sont pas naturels. Tout comme les textes postés par « Topaze » ou quelques autres ici même, les messages d’« Isga » sonnent faux parce qu’ils sont sur commande et toujours sous pseudo.

    Là où ces petits « corbeaux » anonymes prétendus « antifas » ont tout faux, c’est lorsqu’ils croient que le lecteur tombe dans le panneau de leurs messages « antifas ». Ils méprisent l’intelligence du lecteur, mais ils ont tort. Car, même si un lecteur peut se faire piéger quelque temps, vient toujours le moment où l’absurdité clownesque de leurs critiques les démasque.

    L’analyse qui vient d’être mise en ligne par Le Grand Soir décortique cette manipulation pour de bon, de façon très précise et documentée :
    http://www.legrandsoir.info/indymedia-paris-et-les-antifas-soumis-au-detecteur-de-mensonge.html



  • François Asselineau François Asselineau 22 mars 2014 19:43

    @Legrind
    Votre remarque est parfaitement judicieuse.
    Les pseudos « antifas » :

    1°) dénoncent comme « fascistes » toute personne s’attaquant à la politique hégémonique et liberticide de Washington, à l’OTAN, et au glacis géopolitique américain en Europe appelé « construction européenne » pour enfumer les peuples d’Europe.

    2°) mais ne dénoncent jamais comme « fascistes » tout mouvement, dès lors qu’il sert les intérêts de Washington.

    ------

    Ces deux lignes directrices expliquent pourquoi :

    a) l’UPR et moi-même sommes régulièrement traités « d’ultra-droite » ou « d’extrême-droite » par les officines dites "antifas, de même que par une poignée d’internautes ici même, sur Agoravox, que tous les lecteurs connaissent bien.
    Ils font le « job » que leurs commanditaires leur demandent.

    b) en revanche, les mêmes « antifas » sont muets comme des carpes devant les bombardements de l’OTAN en Libye, les déstabilisations de la Syrie, le coup d’Etat en Ukraine organisé par Washington avec des néo-nazis, les commémorations pour les Waffen-SS dans les pays baltes, etc.

    --------------------------------------------------

    Cette grossière manipulation des « antifas » saute désormais aux yeux de tout le monde. Elle fait désormais rire de pitié.

    Elle vient d’ailleurs de faire l’objet d’un article très intéressant dont le conseille la lecture :
    http://www.legrandsoir.info/indymedia-paris-et-les-antifas-soumis-au-detecteur-de-mensonge.html



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 16:12

     @Par soi même

    Je vous remercie pour l’intérêt que vous portez à l’UPR.

    L’UPR ne présente en effet pas de candidats aux élections municipales.
    Pour trois raisons :

    1°) nous n’avons pas assez d’argent ni d’adhérents pour pouvoir nous présenter raisonnablement à ce type d’élections ;

    2°) les élections municipales sont d’abord fondées sur des enjeux locaux et reposent sur le clivage droite-gauche.

    Ce type d’élections n’est donc guère approprié à un mouvement comme le nôtre, qui regroupe des Français au-delà du clivage droite-gauche dans le but provisoire de sauver la France, sur le modèle du Conseil National de la Résistance de 1944.

    Quitte à forcer le trait, imagine-t-on que, si Pétain avait organisé des élections municipales en 1941 en « Zone libre », on ait vu fleurir des listes « CNR » ou « France Libre » à ces élections ? Evidemment non.

    3°) en 2014, ces élections interviennent quelques semaines seulement avant les élections européennes, auxquelles, en revanche, nous allons présenter des listes.

    Nos moyens ne nous permettant pas de participer à plusieurs élections de suite, nous avons bien sûr préféré nous présenter aux élections européennes, qui correspondent parfaitement à notre but puisque ce sont les seules élections où le public s’intéresse vraiment à la question européenne.

    ------------------------------

    A ceux qui font mine de s’étonner qu’un parti anti-UE comme le nôtre participe à des élections européennes, nous répondons :

    a)- que c’est un moyen pour nous de gagner en notoriété nationale,

    b)- que nous avons des partis similaires dans d’autres pays d’Europe qui vont également se présenter pour sortir de l’UE (cf. notre participation au colloque de l’EPAM en Grèce en décembre 2013)

    c)- que les élections européennes sont les seules élections où l’on peut voir surgir un mouvement anti-UE, comme l’a prouvé notamment le UKIP au Royaume-Uni par exemple (quoi que l’UKIP ait des différences substantielles avec nous, son atlantisme et son positionnement très à droite notamment, alors que l’UPR veille à rester au-dessus du clivage droite-gauche je le souligne de nouveau).

    d)- que si nous ne nous présentions pas, nous laisserions la voie libre soit à l’abstention (ce qui ne gêne aucunement les européistes), soit à des mouvements-leurres comme le FN.

    e)- enfin, que c’est la réponse logique à tous les partis européistes qui se présentent à nos élections nationales, en ayant à l’esprit l’idée de détruire la nation France de l’intérieur. Objectif explicitement énoncé désormais par EELV.

    Puisque les européistes participent aux élections nationales avec pour objectif de détruire la nation française, nous allons nous présenter, nous, aux élections européennes avec pour objectif de détruire l’UE.

    Bien à vous,
    FA



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 09:29

    @Doume65
    Le « grand marché transatlantique » est de la compétence partagée de plusieurs ministères, dont le ministère des finances, mais aussi le ministère des affaires étrangères, évidemment. Il s’agit d’une négociation au long cours, où M. Fabius n’est certes pas le seul responsable, mais où il aurait toute sa place pour attirer l’attention du chef de l’Etat sur la folie que représente la signature d’un tel accord pour les intérêts de la France.

    L’affaire de l’avion du président Morales est d’un tout autre genre. C’était une affaire ponctuelle où le ministère des affaires étrangères a été court-circuité, semble-t-il. La décision, pour le moins irréfléchie et hâtive, d’interdiction de survol du territoire national, a été prise, nous a-t-on dit, par la directrice adjointe du cabinet de M. Ayrault, Premier ministre.

    Bien que chacun puisse avoir son avis, il nous semble donc justifié de faire grief à M. Fabius de son inaction dans le dossier au long cours du « grand marché transatlantique », mais de ne pas lui reprocher la décision sur l’avion du président Morales qui a été prise, en quelques instants à l’occasion d’un événement fortuit, ni par lui, ni par quelqu’un placé sous son autorité.



  • François Asselineau François Asselineau 20 mars 2014 00:18

    @Maurice
    C’est délibérément que nous n’avons pas cité l’affaire de l’avion du Président Morales parce que la décision de lui interdire le survol du territoire français n’a pas été prise par le Quai d’Orsay, mais par le cabinet du Premier ministre.



  • François Asselineau François Asselineau 19 mars 2014 17:48

    @Topaze
    Je vous suis très reconnaissant des messages haineux, calomniateurs et méprisants que vous postez continuellement à mon encontre et à l’encontre de nos milliers d’adhérents et de sympathisants, le tout sous couvert d’un lâche anonymat.

    Car ils permettent aux dizaines et dizaines de milliers de lecteurs d’Agoravox, - tous ceux qui lisent en silence les articles et les fils de discussion sans intervenir -, de se faire une opinion sur les arguments des uns et des autres.

    Et la très grande majorité d’entre eux se rendent compte du vide effrayant de vos arguments : en dehors de la haine qui transpire de vos messages
    que vous croyez pertinents, vous ne répondez rien aux différents points précis de ce communiqué, pas plus qu’à aucun autre de mes articles.

    Vous prétendez que je serais « d’extrême droite » ou « d’ultra droite » ? Mais les dizaines de milliers de lecteurs qui vous lisent peuvent constater que c’est vous, et vous seul, qui avez un comportement typiquement fascisant : vous éludez toute question de fond, vous refusez de prendre connaissance de nos analyses et de notre programme, vous ne connaissez que l’attaque ad hominem, vous procédez à des amalgames scandaleux et vous m’imputez de façon calomniatrice des pensées qui n’existent que dans votre imagination.

    Dans votre esprit, plus nos analyses sont limpides et conformes à l’esprit du Conseil National de la Résistance, et plus vous y voyez la « preuve » d’une sournoiserie et d’une dangerosité ! Ce genre de « raisonnements » est exactement comparable à celui des Ligues factieuses de l’entre deux guerres ou de la presse collaborationniste des années 40. Du reste, et comme tout « corbeau », nous n’avez même pas le courage de publier vos torchons sous votre véritable identité.

    C’est cette impuissance de nos adversaires les plus acharnés à nous répondre sur le fond qui est à l’origine de l’envol exponentiel de l’UPR. Nous venons de dépasser il y a quelques minutes les 4345 adhérents et ce nombre ne cesse de croître jour après jour, en dépit du verrouillage médiatique absolu dont nous sommes l’objet.

    Continuez donc à nous calomnier et à nous insulter, cela nous sert.

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 19 mars 2014 17:47

    @Topaze
    Je vous suis très reconnaissant des messages haineux, calomniateurs et méprisants que vous postez continuellement à mon encontre et à l’encontre de nos milliers d’adhérents et de sympathisants, le tout sous couvert d’un lâche anonymat.

    Car ils permettent aux dizaines et dizaines de milliers de lecteurs d’Agoravox, - tous ceux qui lisent en silence les articles et les fils de discussion sans intervenir -, de se faire une opinion sur les arguments des uns et des autres.

    Et la très grande majorité d’entre eux se rendent compte du vide effrayant de vos arguments : en dehors de la haine qui transpire de vos messages
    que vous croyez pertinents, vous ne répondez rien aux différents points précis de ce communiqué, pas plus qu’à aucun autre de mes articles.

    Vous prétendez que je serais « d’extrême droite » ou « d’ultra droite » ? Mais les dizaines de milliers de lecteurs qui vous lisent peuvent constater que c’est vous, et vous seul, qui avez un comportement typiquement fascisant : vous éludez toute question de fond, vous refusez de prendre connaissance de nos analyses et de notre programme, vous ne connaissez que l’attaque ad hominem, vous procédez à des amalgames scandaleux et vous m’imputez de façon calomniatrice des pensées qui n’existent que dans votre imagination.

    Dans votre esprit, plus nos analyses sont limpides et conformes à l’esprit du Conseil National de la Résistance, et plus vous y voyez la « preuve » d’une sournoiserie et d’une dangerosité ! Ce genre de « raisonnements » est exactement comparable à celui des Ligues factieuses de l’entre deux guerres ou de la presse collaborationniste des années 40. Du reste, et comme tout « corbeau », nous n’avez même pas le courage de publier vos torchons sous votre véritable identité.

    C’est cette impuissance de nos adversaires les plus acharnés à nous répondre sur le fond qui est à l’origine de l’envol exponentiel de l’UPR. Nous venons de dépasser il y a quelques minutes les 4345 adhérents et ce nombre ne cesse de croître jour après jour, en dépit du verrouillage médiatique absolu dont nous sommes l’objet.

    Continuez donc à nous calomnier et à nous insulter, cela nous sert.

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 19 mars 2014 17:29

    @Pie 3,14
    Je vous suis très reconnaissant pour les messages haineux et méprisants que vous postez continuellement à mon encontre et à l’encontre de nos milliers d’adhérents et de sympathisants.

    Car ils permettent aux dizaines et dizaines de milliers de lecteurs d’Agoravox, - tous ceux qui lisent en silence les articles et les fils de discussion sans intervenir -, de se faire une opinion sur les arguments des uns et des autres.

    Et la très grande majorité d’entre eux se rendent compte du vide effrayant de vos arguments : en dehors de la haine qui transpire de vos sarcasmes
    que vous croyez drôles, vous ne répondez rien aux différents points précis de ce communiqué. Faute de savoir quoi répondre, vous versez donc dans l’insulte.

    C’est cette impuissance de nos adversaires les plus acharnés à nous répondre sur le fond qui est à l’origine de l’envol exponentiel de l’UPR. Nous venons de dépasser il y a quelques minutes les 4345 adhérents et ce nombre ne cesse de croître jour après jour, en dépit du verrouillage médiatique absolu dont nous sommes l’objet.

    Continuez donc à nous railler et à nous insulter, cela nous sert.

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 19 mars 2014 17:11

    @Paul
    C’est délibérément que nous n’avons pas cité l’affaire de l’avion du Président Morales parce que la décision de lui interdire le survol du territoire français n’a pas été prise par le Quai d’Orsay, mais par le cabinet du Premier ministre.



  • François Asselineau François Asselineau 19 mars 2014 17:08

    @Merlin
    Non, il s’agit bien de Renault qu’Obama a expressément visé en juillet 2013 :
    http://www.latribune.fr/.../quand-obama-oblige-renault-a...



  • François Asselineau François Asselineau 8 novembre 2013 11:59

    Comment peut-on encore faire confiance au Front National ?

    Un parti qui est là depuis 50 ans (merci Mitterand et Attali) et qui malgré une médiatisation à outrance n’a jamais rien fait !

    Cette « média-bolisation » du FN - et le verrouillage médiatique qui est au contraire opposé à l’UPR, devraient d’ailleurs vous mettre la puce à l’oreille, tout comme ils devraient mettre en éveil la curiosité de tous ceux qui refusent d’être les jouets inconscients des commanditaires des médias.

    Le FN est une girouette qui voulait faire sortir la France de l’euro le lundi, attendre que l’euro explose le mardi, le transformer en monnaie commune le mercredi, en sortir à plusieurs pays le jeudi, le renégocier le vendredi, y rester le samedi... et ne plus en parler du tout dans sa profession de foi du dimanche ?

    Son rôle essentiel est de pourrir le débat, en assimilant - dans la grande masse de la population - toute volonté de défendre notre souveraineté nationale à un réflexe xénophobe et raciste, ou à une dilection pour le IIIe Reich. Les « dérapages » semestriels de la famille Le Pen, toujours calculés au millimètre et qui interloquent ou indignent secrètement la grande masse des adhérents et des électeurs du FN eux-mêmes, ne s’expliquent que pour cela.



  • François Asselineau François Asselineau 15 mars 2013 11:38

    @Ricquet et à Croa
    Je suis surpris de vous lire car il n’y a aucune contradiction dans mon écrit et je ne me suis pas « mal exprimé ». Je vous suggère de le relire et d’y réfléchir.

    Ce que j’ai dit, et que je redis dans la même formulation, c’est que le gouvernement envisage bel et bien d’autoriser des établissements français d’enseignement supérieur à effectuer TOUS LEURS examens et TOUS LEURS enseignements ENTIÈREMENT, EXCLUSIVEMENT ET OBLIGATOIREMENT EN LANGUE ÉTRANGÈRE.

    Le mot « obligatoirement » s’applique naturellement aux étudiants et relève d’une décision de l’établissement qui serait donc désormais libre juridiquement d’imposer cela à ses étudiants.

    Cela signifie que, si cette loi est adoptée, les étudiants d’écoles de commerce pourraient être contraints par leur établissement à suivre des enseignements ENTIÈREMENT, EXCLUSIVEMENT ET OBLIGATOIREMENT en ANGLAIS, même contre leur gré, et cela dans toutes les matières : finances, comptabilité, gestion, droit, mercatique, gestion des ressources humaines, politique internationale, etc. 

    Ce n’est nullement un fantasme : d’ores et déjà les étudiants de la plupart des écoles de commerce françaises ou de certains Instituts d’Etudes Politiques sont contraints de suivre une part de plus en plus importante de leurs cours en anglais. Mais pas tous, et c’est cela que réclament certains dirigeants d’établissement : le directeur de l’ESSEC, 2e école de commerce de France a déjà annoncé qu’il voulait imposer des cours ENTIÈREMENT, EXCLUSIVEMENT ET OBLIGATOIREMENT en anglais.

    Ce que vise la loi Fioraso, c’est d’autoriser cette exclusivité, en empêchant que des étudiants puissent faire des recours juridiques contre les établissements en question.

    FA



  • François Asselineau François Asselineau 11 mars 2013 13:16

    @JL
    Je vous remercie beaucoup pour vos appréciations.

    Votre question sur le graphique représentant l’indice de Gini est tout-à-fait pertinente et je regrette de ne pas avoir apporté les précisions qui s’imposent pour bien le comprendre.

    L’axe des ordonnées représente la hausse ou la baisse de l’indice de Gini en POURCENTAGE ANNUEL MOYEN moyen sur la période considérée.

    Pour être concret, cela signifie, dans l’exemple du Venezuela, que l’indice de Gini - donc les inégalités - :

    • a augmenté d’environ +0,5 % par an pendant les années 90 (sous Carlos Andres Perez et ses successeurs), 
    • puis a baissé de façon spectaculaire d’environ -3,2 % par an pendant la période 2002-2008 (première partie de la présidence de Chavez), ce qui est un pourcentage considérable,
    • et a baissé à un rythme moindre, mais encore très important, d’environ -2,2 % par an pendant la période 2002-2008 (deuxième partie de la présidence de Chavez).
    Si vous voulez approfondir la question, ce graphique et ses explications (en espagnol) se trouvent en page 54 du document ci-après :
    http://www.eclac.cl/publicaciones/xml/1/45171/PSE2011-Panorama-Social-de-America-Latina.pdf

    Cordialement

    François ASSELINEAU



  • François Asselineau François Asselineau 10 janvier 2013 20:34

    @tf1Goupie

    À propos de « mauvaise foi », auriez-vous l’amabilité de préciser aux lecteurs où et quand j’aurais « seriné que l’Euro ne passerait pas les 10 ans » ?

    Je n’ai évidemment jamais donné une date butoir de cette nature.
    Ni celle de 2009 (10 ans après l’entrée en vigueur de l’euro interbancaire), ni celle de 2012 (10 ans après l’entrée en vigueur de l’euro fiduciaire).

    J’ai toujours eu soin au contraire d’affirmer que :
    - l’euro n’est pas viable,
    - il finira, tôt ou tard, par exploser, que ce soit dans 5 mois, 5 ans ou 15 ans.

    Du reste, j’ai expliqué, dans ma conférence sur « La Tragédie de l’euro » :

    a)- que toutes les monnaies supranationales de l’Histoire ont toujours fini par exploser ;

    b)- et que l’histoire monétaire des XIXe et XXe siècles enseigne que la durée de vie de ce type de monnaies semble empiriquement être de quelques décennies.

    J’invite les lecteurs à vérifier mes dires en écoutant la vidéo en ligne de ma conférence, et notamment à partir de 57’45" : http://www.u-p-r.fr/videos/conferences-en-ligne/la-tragedie-de-euro

    ----

    Je maintiens plus que jamais cette analyse..

    Et ce n’est pas parce que des transferts massifs de dettes des banques privées vers les contribuables ont été opérées, pour sauver l’euro provisoirement, que cette monnaie est tirée d’affaire, loin de là.

    Ce qui est pathétique, dans votre aveuglement, c’est que, comme tout le monde, vous et vos proches allez être appauvris par cette affaire d’euro, maintenu coûte que coûte par des fanatiques. Et vous serez plumés pour rien puisque, l’euro finira par exploser, dans 5 mois, 5 ans ou 15 ans.

    François Asselineau



  • François Asselineau François Asselineau 8 janvier 2013 18:59


    @Traroth
    Contrairement à ce que vous affirmez, la sortie de l’UE est fort loin d’être notre « seul programme ».

    Elle est la clé de voûte de notre programme, cela c’est exact. Pour la simple et bonne raison que si la France ne dénonce pas juridiquement les traités européens, tout programme est vide de sens puisque les traités européens fixent la quasi-totalité des orientations politiques stratégiques de notre pays.

    La sortie de l’UE est donc le préalable indispensable à tout vrai programme applicable. Tout comme la défaite de l’Allemagne et la libération du territoire national étaient le préalable indispensable à la mise en œuvre du programme du Conseil National de la Résistance.

    Mais l’UPR a un programme autrement plus vaste et détaillé, qui s’inspire d’ailleurs étroitement de celui du CNR.

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    Si vous souhaitez découvrir ce programme in extenso, tel que je l’ai personnellement présenté le 3 décembre 2011, je vous conseille de le visionner en vous reportant à la page :

    http://www.u-p-r.fr/presidentielles-2012/le-programme-de-l-upr

    Cette présentation est très complète et très pédagogique, et elle comporte une mine d’informations et de propositions, souvent d’une grande originalité pour les internautes qui nous découvrent. Elle est cependant très longue (5 heures au total) et je vous suggère de la visionner par petits épisodes et progressivement.

    Si vous n’avez pas ce temps à consacrer, vous trouverez une version écrite synthétique de ce programme en version PDF, téléchargeable et imprimable en cliquant sur :
    http://www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/presidentielles/Programme-Liberation-Nationale.pdf

    Si vous daignez consulter ce programme de 64 pages, il ne vous sera matériellement plus possible d’affirmer que sortir de l’Europe serait le  « seul programme » de l’UPR.

    François Asselineau