zoreol

Malheureusement, comme d’ailleurs dans la religion catholique au cours de l’Histoire, « l’adaptation des rituels aux contingences du moment » ,qui conclut votre article,semble être un effort bien difficile. Tout récemment (en fait dans les années cinquante !), les clercs catholiques avaient des hésitations pour autoriser leurs ouailles à travailler le dimanche (témoignage vécu). 

Quand le Ramadan tombe chez nous en Europe pendant les mois d’été où les jours sont très longs et les nuits très courtes, je me demande chaque fois s’il ne serait pas possible que les Ulémas réadaptent cette règle du mois de jeûne, sachant que cette règle a été établie au 7e siècle dans une région où les jours et les nuits avaient pratiquement les mêmes durées toute l’année. 

Bismillah !

des infos « dynamite » ! En lisant certains passages, il m’est venu une idée évidemment « complotiste » : le gaz remplacé aujourd’hui par le virus.

grand merci à l’auteur de cet article qui remet un peu les pendules à l’heure. J’ai regardé la série il y a quelques semaines. Ayant une assez bonne culture de l’Histoire des relligions, en particulier du christianisme et du judaïsme, plusieurs passages de l’émission m’ont donné une impression de malaise. Dommage que je ne les ai pas notés au même moment. Mais bon, les humains seront-ils un jour capables de s’entendre malgré des croyances variées ? Pas pour demain, hélas !

@Maître Yoda
«  une société où les tordus ne sont pas profondément inquiétés. » : il me semble que, même quand existait encore la peine de mort, les « tordus » n’en avaient rien à cirer, cela ne les empêchait nullement de poursuivre leurs bas instincts de prédateurs.

Merci à l’auteur pour ce petit exposé de géographie historique. Je relève pourtant ce passage : « En 1854, l’Angleterre conclut une alliance avec l’Empire ottoman et déclare la guerre à la Russie. »  Il ne faut pas oublier que la France de Napoléon a participé à cette « guerre de Crimée » avec l’Armée d’Orient. (assaut de la forteresse de Malakoff à Sébastopol par les troupes de Mac Mahon (« j’y suis, j’y reste »)