« [...] cette stratégie Otanesque, obligeant l’ensemble des pays de l’Occident à apparaître de fait comme cobelligérants [...] »
Je ne vois pas de quels pays de l’occident vous parlez : des DOM-TOM étasuniennes, oui, mais point d’autres pays, en occident, que les États-Unis...
Nous avons d’un côté, la Russie-qu’elle-est-méchante, ci-désignée l’ennemie de nos maîtres, qui eux sont les Superhéros de l’Histoire, et dont nous sommes les bêtes (plus gentiment nommés « les meilleurs amis »).
La Grande-Bretagne, qui avait surtout eu la bonne idée de garder sa monnaie, pour ensuite avoir celle de nous quitter, ne va certainement pas connaître la même récession que les DOM-TOM étasuniennes...
Juste une remarque. Nous avions tout, en Europe, pour constituer un superbe paradis pluriel : il suffisait de nous rapprocher essentiellement de la Russie, en même temps que de la Turquie (les deux étant bien plus multi-ethniques que nous, depuis bien plus longtemps), ainsi que du Maghreb.
Parce que c’était le plus facile, le plus logique et le plus efficace à faire... C’était si simple à réaliser et à consolider, si simple !
Nous n’aurions pas connu nombre de crises par le passé. Et nous ne serions pas devenu cette vieille région étasunienne débile et sacrifiable.