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McGurk 17 octobre 2020 15:32
McGurk

@Pierre Régnier

Je comprends parfaitement votre réaction. Je la ressens également.

Néanmoins, en y regardant de plus près, ces « symptômes » (bêtise et malhonnêteté) sont communs à tous les bords politiques.

Que ce soit l’idéologie communo-compatible ou bien l’acceptation de fait inacceptables, tous les partis ont préféré l’électoralisme que la résolution des problèmes.

Plus le temps passe, plus je constate que la prise du pouvoir par le politique résulte en réalité de son échec à résoudre son rôle premier, à savoir de réaliser ce que le citoyen lambda ne peut faire.

En clair, l’existence-même de cette classe ultra privilégiée était menacée par sa corruption profonde et la lassitude extrême des citoyens envers eux, ainsi que de cette fausse démocratie.

Leur rôle, depuis des décennies, est de distordre les problèmes déjà existants — ce qui crée, de fait, des problèmes sous-jacents que nous rencontrons actuellement — pour se rendre indispensables. Car, si les situations initiales étaient résolues, leur job (et train de vie) seraient menacés.

Mieux valait, au travers de Macron — adoubé par toute la classe politique —, prendre tout simplement le pouvoir. Déjà via les attentats de Paris (lois liberticides) et enfin grâce à la fausse « crise sanitaire ».

Or, de fait, si on résolvait la crise politico-citoyenne (la prise de contrôle du citoyen sur le politique et non l’inverse), la plupart des problèmes disparaitraient en quelques mandats seulement. Car nous n’avons pas, après les élections, de décider de notre avenir et encore moins de la manière d’y parvenir.

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