Cet article de propagande est peu imaginatif et manque d’émotionnel.
Depuis la publication de « Jamais sans ma fille » de Betty
Mahmoody et les histoires de petites filles Afghanes aux mains coupées par les
talibans parce qu’elles avaient eu recours à du vernis à ongles, nous avions
été habitués à des mensonges plus spectaculaires pour nous vendre des guerres.
Laissons parler une idole de la République Française :
« Le mensonge n’est un vice que quand il fait mal. C’est une très
grande vertu quand il fait du bien. (.) Il faut mentir comme un diable, non pas
timidement, non pas un temps mais hardiment et toujours. Mentez mes amis,
mentez, je vous le rendrai un jour » François-Marie Arouet, dit Voltaire