subissu
si cela est le problème des juges, que pèse la vie d’un simple particulier, « berger » de surcroît et sans nom à particule, face à l’honneur de « tout l’ appareil judiciaire, de l’ enquête à l’ instruction en passant par les procès ». ?
la question qu’il faut se poser, c’est pourquoi la majorité des chroniqueurs judiciaires des grands journaux , si prompts à sauter sut tout ce qui bouge, sont restés si silencieux sur les nombreuses anomalies de l’enquête, à part Stéphane Durand-soufflant, chroniqueur judiciaire du Figaro qui prononce ces mots : « il y a quelque chose de pourri dans ce procès ! »
mais les autres , motus !
pourquoi ?