Le simple fait de pouvoir publiquement poser cette question prouve que la réponse est positive.La liberté d’expression existe dans ce pays même si certains propos sont par la suite condamnés par la justice.
Cela dit, le procédurier Le Pen doit se réjouir de ces condamnations qui lui permettent d’adopter sa pose favorite ; celle du martyre et sans lesquelles on parlerait bien peu de lui.