"Assumer ses convictions", dites-vous. Lesquelles ?
Lorsque Besson tient des propos assassins sur Sarkozy et sa politique ?
Ou lorsqu’il prend un virage à 180° pour promouvoir aujourd’hui ce qu’il détestait hier ?
A moins que ces "convictions" nouvelles ne soient un euphémisme pour décrire la propension de notre Iago à lécher outrageusement le fondement de son nouveau maître dans toutes les notes qu’il lui fait parvenir...