@yan35
« Il est aujourd’hui, pour le moins paradoxal de constater que, « lors que pendant des siècles l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’Etat de battre monnaie et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice, la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés » soulignait Maurice Allais, Nobel d’économie 1988 (L’impôt sur le capital et la réforme monétaire, 1976)