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Internaute Internaute 30 octobre 2007 16:57

L’article est bien documenté. Concernant l’Arche de Zoë, c’est l’exemple typique des dames patronesses qui font plus de mal que de bien. A la génération de ma Grand-mère, les dames patronesses étaient encadrées par l’Eglise qui usait de leurs deniers pour les Missions Africaines. On peut les critiquer tant que l’on veut mais elles faisaient tout simplement avec 100 ans d’avance ce que les bien-pensants d’auhourd’hui appellent le co-développement. Elles instruisaient la population, tenaient des dispensaires et leur apprenait à cultiver, entre deux messes.

Les Missions Africines avaient l’énorme avantage de ne pas remplir des barges pour ramener en France des gens qui n’ont rien à y faire.

Les dames patronesses d’aujourd’hui ne savent plus à quel Saint se vouer et partent dans tous les sens avec pour seul guide des bons sentiments baignés dans la mythomanie. Elles ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et sont satisfaites de se donner bonne conscience au frais de la société.

Quelques pistes de réflexion :

- Le tiers-monde est plein d’intermédiaires en tout genre qui trafiquent avec les hommes et les enfants comme ils trafiquaient avec les esclaves au 19° siècle. Avec 2.400 euros, un tchadien de la brousse est l’homme riche du village. Ce qu’on nous présente comme des orphelins sont bien souvent vendus par leurs proches. Les dames patronesses font semblant de ne pas le voir. En Amérique du Sud on trouve des cadavres d’enfants de 10 ans sans yeux ou sans foie, ceux-ci rentrant dans le circuit américain des « dons d’organes » pour lesquels il y a aussi pleins d’ONG bien-pensantes.

- Un enfant, même pauvre, est cent fois mieux avec ses proches que déraciné dans un pays lointain. C’est inhumain de s’acheter un petit nègre pour aller le chercher fièrement à la sortie de l’école et le trimbaler le dimanche dans l’auto.

- 1000 enfants exfiltrés puis inflitrés en France vont nécessairement se retrouver dans des classes avec d’autres ONG qui se chargeront de réclamer la scolarité des clandestins. Les petis français qui sont à l’école n’ont pas besoin d’analphabètes qui feront baisser le niveau de la classe et sont un handicap pour leurs études. Comme d’habitude, les dames patronesses se fichent complètement des dégâts collatéraux causés par l’inflitration de 1.000 analphabètes dans les écoles. Sans compter qu’à la sortie, cela fera une concurrence supplémentaire aux autochtones pour trouver du travail. Le chômage de leur voisin ne les émeut pas. Elles trouvent beaucoup plus important de pleurer sur une photo de magazine montrant à l’autre bout du monde un petit famélique.


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