Il y a tellement peu de torture et si peu de sang que la majeure partie des taureaux graciés (ils ne sont déjà pas nombreux) ne survivent pas à leurs blessures. Leur salut dépend non seulement de la rapidité d’intervention du vétérinaire, mais aussi de leur résistance propre.
Gracié le 3 juillet 2005, à Eauze, Gironcillo n’a pas survécu,l’une des piques, enfoncée jusqu’à 30 cm, ayant commis d’irréparables dégâts.
Tellement peu de torture et si peu de sang...