Cette affaire montre surtout une fois de plus que la CGT est un syndicat maintenant complice de la doctrine étatique. Où est la défense des droits des travailleurs, de tous les travailleurs ? Des lois scélérates passent les unes après les autres, attaquant le modèle social français, les droits essentiels des salariés, etc, etc, et la CGT reste bien discrète, à part quelques vaguelettes pour la presse, quelques déclarations dans le vide. Plutôt que de faire de la politique internationale, ce syndicat ferait bien de revenir à ses fondamentaux, de se rappeler pourquoi il existe et quel est son combat prioritaire. Peut-être retrouverait-il alors des adhérents en cette période de régression sociale à vitesse accélérée.