@Lynwec
’’Des génies (maléfiques)...’’ auprès desquels le sinistre Mengele ferait aujourd’hui figure d’enfant de chœur.
Il semblerait que les nazis n’étaient pas copains avec Big Pharma et ses complices.
« L’adhésion du corps médical allemand au régime nazi n’est pas
seulement imputable aux pratiques eugénistes, voire euthanasiques,
promues après 1933. Spécialiste de la face sombre de cette réaction, qui
conduisit aux expériences extrémes des camps et contribua à
l’idéologie de l’élimination des « inadaptés », l’auteur aborde ici le
volet « positif » du totalitarisme nazi en matière de santé publique.
L’ouvrage dépasse le simple cas du cancer et développe une réflexion
d’ensemble sur la portée et les limites de la recherche scientifique
dans un contexte idéologiquement obéré. En effet, l’Allemagne nazie
pratiqua une politique de recherche et surtout de prophylaxie massive
qui anticipait de plusieurs décennies sur les autres pays occidentaux.
La mise en évidence pionnière de la relation entre tabac et cancer des
poumons 1939, l’indemnisation des travailleurs victimes de cancers dus
à l’amiante 1943, la limitation de la publicité pour l’alcool et les
cigarettes, et la radiographie ... »
Visiblement les néonazis n’ont pas conservé les valeurs qui auraient pu racheter leurs ainés, à savoir, le souci de leur propre peuple. Cela interpelle bougrement.