@REMY Ronald
Cette guerre ne peut être gagné par la Russie, pour la bonne raison qu’elle est illigiitime, et que tous les pays autour de l’ukraine la soutienne, l’aide, et vomissent la culture et la présence Russe. C’est donc un isolement culturel et poltique durable qui va s’installer. L’aigle bicéphale russe à deux têtes, l’une regardant l’asie, l’autre l’europe, est en train d’en perdre une. 
« De mon point de vue, la paix sera par contre hyper fructueuse entre ces deux nations une fois réconciliées, tant leurs complémentarités sont fortes et leurs liens étroits malgré cette désolante guerre poutinienne »
La réconciliation sera impossible à moyenne échéance. Ils ont été trop loin dans l’horreur. Il n’y a pas de demi tour possible pour Poutine, encore faudrait il que les deux parties le veule.... Le peuple Russe lui même est totalement vampirisé, sous dépendance de la doxa nationaliste et de la propagande qu’elle boit comme du petit lait. Même si elle n’y croit pas plus que les trolls qui sur ce site. C’est un esprit de corps pourri, rongé par la vermine, puant la charogne, qui s’est installé durablement. Le mensonge est divinisé et admis, car necessaire, pensent ils à leur action, qu’ils ont déclaré légitimie aux forceps.. 
Iegor gran, un franco Russe, fils d’exilé politique, vient d’écrire un livre sur le sujet, dont libération a fait un article. Dans « Z comme Zombie, il parle de cette psychose, qui a fait basculé la russie vers le vide...

Extrait de l’article ; « Katia, 16 ans, coincée à Marioupol à côté du cadavre de sa mère morte de froid et de malnutrition, appelle son oncle resté en Russie. Réponse embarrassée de l’oncle-zombie : “Mais qui êtes-vous ? Arrêtez de m’appeler. Je ne vous connais pas.” » Iegor Gran le redit à la fin de son livre : il n’a rien inventé, on peut aller voir (si on lit le russe) les sources Twitter, groupes Telegram, hashtags qu’il cite, relayant les délires haineux et complotistes qui sévissent actuellement au pays de Poutine. « Certes, “tous les Russes ne sont pas comme ça” », note-t-il en prélude. C’est une « sagesse du bistrot de gare – à laquelle je souscris volontiers. Il n’empêche ». (fin de l’extrait) La différence avec un livre comme »seul dans Berlin", de Hans Fellada, qui évoquait le combat courageux d’un vieux couple, dans le Berlin nazifié, qui après la mort de leur fils soldat, décidait de réveiller les consciences, en semant des lettres, c’est que les Russes soutiennent le vampire, incapables de réagir à l’horreur, consentant au mensonge et à la mort de l’âme qui va les saisir, et ramener leur pays un siècle en arrière ; et ce ne sont pas les calculs d’épicier et de bourreau de Poutine qui masqueront longtemps le vide, et la puanteur.