vous êtes sûr que griveaux n’a rien fait d’illégal ?
L’appréciation de l’adultère peut être différente suivant les cas. Une
liaison suivie, une recherche internet, ou une correspondance peuvent
selon l’appréciation du juge, être considérés comme une injure et
conduire à prononcer un divorce pouvant être au tort de la personne
adultère, s’il est considéré que le maintien du lien conjugal n’est plus
possible (article 266 du Code civil). D’après certains avocats, cela
peut conduire dans certains cas au paiement de dommages et intérêts par
exemple s’il existe un préjudice. Ce type de condamnation est distinct de la prestation compensatoire (article 270 du code civil)