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Baba Yaga Baba Yaga 4 novembre 2015 15:13

Question simple mais pourquoi a chaque fois qu’on parle du climat on parle d’argent, money, pognon, flouze ? Pourquoi ce sont des entreprises, industries agro-alimentaires, patrons, banquiers, économistes, qui sont invités systèmatiquement ? Et les vrais scientifiques ??

Aucun ! Ne sont invités en plus que des écologistes militants, qui défendent leur bout de gras, des futurs chefs de « milices deep-ecos », qui vont vous commander quoi faire, quoi manger, quoi penser ou voir allez à la case prison pour ceux qui ne voudraient pas « croire » en leur GIEC  super Eglise verte, qui draine et a drainé des milliards de $ depuis des années.

La pause du RCA a été déclarée et pourtant on fait comme si cela continuait. Très inquiétant car en vérité il s’agit bien de pognon, argent moyen, flouze dont il s’agit en vérité. Une grosse arnaque demande un gros mensonge : le RCA est né avec le GIEC et son prophète Al Gore continue à engranger des dividendes avec ces amis spéculateurs de la bourse du Carbone a Chicago ou a Bruxelles. Les Bill Gates, Rockfeller, et autres milliardaires « philanthropes » vont nous expliquer comment vivre avec 3 francs 6 sous et ne plus manger de viande....La Revue MAUSS en parle :

« A propos de la campagne »anti-viande", lire ou relire l’article de Jocelyne Porcher dans le n°42 de la revue du MAUSS.

« Bill Gates, l’association PETA ou Cargill en sont convaincus : il faut éduquer les consommateurs, notamment les classes populaires. Car les mangeurs de produits animaux ciblés par les agences de communication sont bien celles-ci.

On comprend,à lire les arguments de ces prescripteurs, combien le processus de transformation de l’agriculture, depuis le xixe siècle jusqu’à aujourd’hui, se poursuit dans le même sillon, et combien ces transformations renvoient à des rapports de classe [Porcher, 2013 ;Julien, 2013].

Au xixe siècle, les bourgeois s’offusquent du comportement du charretier qui bat son cheval, mais ils s’entendent pour faire descendre les chevaux et les enfants dans les mines. La loi Grammont (1850), qui met l’accent sur la visibilité de la violence envers les animaux, protège ainsi certains animaux et en oublient d’autres.

Le credo de la protection animale est l’éducation des masses populaires, hier comme aujourd’hui, et c’est au nom de la morale et de l’éthique que les entreprises, les biologistes et les philosophes oeuvrent à cette éducation.

L’élevage est une calamité pour la FAO, et la viande est un produit criminel pour les défenseurs des animaux, qui revendiquent « une agriculture sans élevage ». C’est pourquoi la viande in vitro apparaît comme une production morale. Comme PETA l’assure : «  In vitro meat provides a way for people to be able to eat ethically. »

Bill Gates, Google, PETA, aidés par des philosophes étonnamment consensuels, s’entendent, comme les bourgeois du xixe siècle, pour donner au petit peuple des leçons de morale. Car la viande est devenue la base de l’alimentation populaire avec le développement de l’industrie des productions animales. Aux paysans et aux ouvriers, qui mangeaient bien davantage de soupes que de viandes, les industriels ont dit aux uns  : produisez sans limites et aux autres : mangez de la viande, buvez du lait !

Aujourd’hui, changement de bénéficiaires : les investisseurs disent : soyez « vegan », mangez du soja ou des insectes, de la viande in vitro ! C’est bon pour la planète, bon pour les animaux et bon pour vous ! »

Ne vous laissez pas faire ! N’écoutez pas ces oiseaux verts de malheur ...


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