’notre bien commun’ : la terre n’appartient à personne, de même que les bienfaits qu’elle dispense.
Je ne dis pas cela pour te faire panpankuku mais pour te faire prendre cosncience du nimportnawak et par là du pipo : la langue avec laquelle tu parle (les mots), c’est le reflet de la pense avec laquelle tu penses (concept).
Aussi, l’occidental dira : ’notre bien commun’ = la chose vue comme si on y était extérieure, comme un objet, ce qui implique donc l’avoir.
L’homme dit premier songera (la philosophie, ce que j’appelle le nimportnawak, lui est étranger) : ’nous’ = la chose vue comme part d’un tout, donc l’être.