Merci pour la mise au point. Au delà de la privatisation il est important de préciser comme vous le faites la disparition de la classe moyenne. Cette dernière laissant place au « précariat ». La ou le bas blesse pour nous -précaire ou futur précaire- est que nous sommes inutiles a leur yeux, dans le sens ou moins de 25% (très large..) d’un pays suffit aujourd’hui a le faire tourner, évolution technique et technologique oblige. Cela pourrait être un bien (libération du travail, revenu de citoyenneté..) comme un mal (pas d’acces à l’éducation, la nourriture...).
La révolution sera celle de l’oisiveté ou ne sera pas, j’en mettrai ma main a couper.