Il faudrait faire une analyse psychique des idéologues qui seraient heureux de voir les gens perdrent des droits sociaux ou mener une vie moins « comfortable ». Il y à là un ressort qui fait froid dans le dos.
Je ne pourrais être heureux que le jour où les autres seront malheureux pensent -ils ou plus précarisés ou plus flexiibilisés. Derrière tous les tours de passe-passe et les mots raffinés, les libéraux sont vraiment des gens dont je mesure le caractère ignoble chaque jour que Dieu fait.