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Martha 1er août 2012 06:15

Belle analyse de fond.
 Sachant ce que vous dites. Sachant que le principe de précaution est pris à l’envers. Puisque c’est celui de nécessité que nos décideurs ont fait primer (c’est ça ou rien d’autre, on n’a pas le choix, c’est superbien vous verrez) et que le premier ne sera plus, maintenant, jamais reconnu, puisque le second l’a éliminé d’emblée. Même si, autant de temps qu’il le faudra, il fonctionnera, par nécessité, il doit laisser, dès maintenant, la place à la réflexion et assurer son remplacement.
 Si économie il y a, par ce système, celle-ci laisse la place au financement d’une recherche honnête sur « cette sortie du nucléaire » et à l’installation d’un autre système qui lui répondra d’abord au principe de précaution avant d’être mis en oeuvre.
 
 Pour le moment on nous dit : il n’y a pas le choix, il n’y à rien d’autre !
 Est-ce bien vrai ? Où est la part du coup de force financier ? Où est la part de la « dominance » de l’oligarchie qui a le pouvoir de décision ?

 Il faut mettre tout cela à plat. Manifestement il y a de toute évidence d’autres moyens de faire pour s’en sortir sur le plan énergétique. Au moins que l’on puisse en parler et en débattre !


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