Il ne s’agit pas de reprocher à Mélenchon son salaire, ses salaires, ses rétributions, ses honoraires et ses gages, ni même son appartenance avérée à ce que l’on appelle le « Système » (le NOM, d’où, au passage, l’intelligent slogan actuel du parti français : « Oui, à la France ! »), ni même encore de monter sur ses grandes juments pour essayer de se faire passer pour un « candidat anti-système » (il est payé pour par un « Système » qui sait qu’il est la principale cheville ouvrière en mesure d’empêcher le seul parti français en lice de parvenir au second tour des prochaines présidentielles).
Il s’agit simplement de démasquer cet imposteur chaque fois qu’on en a l’occasion.