Le problème du CO2 n’en est pas un, puisqu’à d’autres époques il y en avait même plus au Paléozoïque ou au Crétacé écrit Vliet-Lanoë dans son livre, pages 376-378 :
« Il est curieux de constater que la pression de CO2, si elle a augmenté régulièrement ces dernières décennies pour attendre actuellement 380 ppm, reste de loin largement inférieure à ce qu’elle était au Paléozoïque ou au Crétacé. Le réchauffement actuel et son cortège d’effets catastrophiques annoncés arrivent presque mille ans après l’optimum climatique des cathédrales, quasiment dans la continuité des réchauffements brutaux et pseudo-cycliques des évènements de Dansgaard-Oeeschger ».