Navalny n’a jamais été empoisonné par le Novitchok, car ce neurotoxique n’existe pas ! C’était le nom d’un programme sur un gaz de combat, abandonné du temps de l’ U.R.S.S., car trop dangereux ( un peu comme l’hypérite, le gaz moutarde de la guerre de 1914-1918 ), car en cas de saute de vent, c’étaient les utilisateurs qui en étaient les victimes !

Le « Novitchok » dont auraient été victimes les Krispal père et fille à Salisbury, puis Alexeï Navalny à Tomsk, s’appelle en réalité du 3-dinuclidinyl-benzilate, appelé BZ.

Il équipe toutes les forces de l’ O.T.A.N. et plusieurs pays le fabriquent, dont bien-entendu la Grande-Bretagne !

L’ O.N.U. a chargé un laboratoire suisse de réputation mondiale d’analyser les échantillons recueillis à Salisbury.

Il s’agit du laboratoire fédéral de SPIEZ, dans le canton de Berne, spécialisé dans la protection N.B.C. de la population suisse.

Après analyse des échantillons, ce laboratoire a déterminé qu’il n’y avait que du BZ comme neurotoxique dans ceux-ci .

La Russie, se doutant du coup fourré qui allait lui tomber dessus, a réussi à se procurer un exemplaire du rapport SPIEZ.

Bien lui en a pris, car curieusement l’ O.N.U. a totalement ignoré le rapport du laboratoire le plus sérieux, pour ne prendre en compte que les rapports des laboratoires aux ordres de Washington ( 4 laboratoires avaient été choisis ).

Je ne vous dis pas la fureur du représentant russe, lors d’une séance à l’ O.N.U. !

Ce qui n’a servi à rien, cet organisme en état de mort cérébrale étant depuis des années aux ordres de Washington !

Les résurrections miraculeuses de Sergueï Krispal et et de sa fille Ioulia puis de l’escroc Alexeï Navalny, s’expliquent par le fait que le BZ n’est pas mortel, il est fait pour neutraliser celui qui le touche pendant une dizaine d’heures.

Quand je parle de l’escroc Navalny, ce n’est pas pour rien ! Lui et son frère ont escroqué Kirovles,une entreprise forestière russe, avant de s’en prendre à la filière russe d’Yves Rocher ( montant total de l’arnaque : 800.000 euros ).

De condamnation en délit de fuite, la peine a augmenté, et il a fini en Sibérie Orientale, à 9.200 km de Moscou, et à l’isolement total !

Les cons ça osent tout ! C’est même à ça qu’on les reconnait ! ( ça n’est pas de moi )