@l’auteur, 

On constate un début de doutes , effectivement, dans le concerto de propagande pro Ukrainien qui est développé depuis le début de ce conflit. 

Il faut néanmoins attendre encore un peu car les actions Ukrainiennes semblent cousues de fil blanc et le silence de leur part ne signifie pas obligatoirement que la situation leur échappe. 

Il ne faut pas perdre de vue que les pertes humaines mêmes très importantes n’ont aucune signification pour le régime Zelinski , tout comme pour les sponsors de l’OTAN. 

Il est recherché une percée significative du front Russe qui mettrait le Kremlin dans l’embarras. La cerise sur le gâteau pourrait être le retrait pur et simple de Poutine pour incapacité. 

Les Occidentaux savent parfaitement que repousser les Russes hors du Dombass et de Crimée est impossible sinon de mener une guerre intensive jusqu’en 2030 au moins. 

Les capacités matérielles des Etats de l’OTAN (y compris les USA ) ne peuvent pas fournir le matériel et les munitions nécessaires pour une campagne intensive encore en 2024. 

L’année 2023 doit être la fin de ce conflit , si possible à l’avantage des Occidentaux par jet de l’éponge du Kremlin , espèrent ils. 

Cette offensive ne fait que commencer . Les Ukrainiens sacrifient des brigades d’assaut pour éprouver et user les lignes Russes. 

Ils ont certainement planifiée une percée à un moment donné avec une forte concentration de tout leurs moyens. Ils disposent encore largement de troupes et de matériels à sacrifier pour cela. 

Ils vont attaquer sans soucis des pertes car échouer face aux Russes n’est pas une option pour l’OTAN et les USA. Cette manière est la seule qu’ils ont , étant donné qu’une offensive nucléaire est totalement sans intérêts dans la mesure ou leur objectif est d’avaler les richesses de l’Ukraine pas de tout détruire.

La perspective de la Pologne ou des Etats Baltes de faire du chantage à l’OTAN pour forcer à participer au conflit est typique de la mentalité de charognard de ces nations depuis toujours. 

Ceci dit c’est du bluff et les grandes nations de l’OTAN ont les moyens de les faire taire. 

De surcroit ces pays envoient déjà des mercenaires en grand nombre pour se battre contre les Russes et personne ne peut empêcher cela de continuer. 

L’OTAN n’ira pas car elle sait qu’elle n’en a pas les moyens et surtout il n’existe aucune volonté en Europe de se fracasser dans un conflit de ce genre. 

Dans l’attente , je ne pense pas que c’est joué pour les Ukrainiens comme pour les Russes. 

Le risque réel pour les joueurs de Poker Occidentaux serait qu’ils obtiennent la chute de Poutine si l’affaire ne tourne pas bien pour les Russes. 

On verrait alors une personnalité (ou un groupe) probablement extrémistes radicaux qui voudraient « enlever les gants ». C’est le pire de scénarios si le nationalisme Russe prend la main : les Polonais, les Etats Baltes , les Moldaves et les Finlandais pourraient en subir les conséquences. Quant à l’Ukraine , cela serait la fin de son indépendance pour le siècle qui vient. 

J’avance ce point de vue car les Russes ont largement les moyens de mettre un déculottée au Occidentaux en Europe. 

Compter sur les Anglo Saxons pour arrêter les Russes est illusoire . Les USA ne risqueront pas de se faire atomiser pour défendre l’Europe. 

Dans le cas ou l’offensive Ukrainienne tourne court , il est probable que les Russes iront jusqu’a la Rive Est du Dniepr et qu’il récupéreront Odessa avec un lien vers la Transnistria. 

L’OTAN et ses Etats n’ont pas les moyens militaires pour empêcher les Russes d’arriver là en 2024. On assistera à une sorte de paix armée à la sauce Pan Mun Jon Coréenne. 

Jusqu’à la prochaine étape vers 2030 si les Occidentaux se résignent (ou sont obligés) de passer en économie de guerre. 

Et si les citoyens de l’UE acceptent encore d’être dirigés par des pantins incompétents et corrompus.