@Nicole Cheverney
Bonjour,
J’achève la lecture de quelques romans anglais touchant le 18 ème siècle cad quasi contemporain de notre révolution .
Je pense que cela vaut lecture de livres historiques très savants .... !
Nous n’avons pas idée de la violence de ces sociétés de l’époque où la population n’avait pas plus d’importance pour la bourgeoisie arriviste ou désireuse d’entrer dans les élites monarchistes de l’époque , que le règne animal et encore !
On méprisait , on détruisait les gens « de basse extraction » et leurs familles , on pendait pour des peccadilles .
Les enfants travaillaient dans les mines et les usines à 6 ou 8 ans, obligés pour assurer des revenus de base familiaux .
La mortalité infantile et adulte était énorme ...
L’hypocrisie dans les moeurs ,les rapports humains et les dégâts , étaient poussés au maximum dans ces classes « privilégiées » ou seule l’accession aux couches favorisées, à une certaine aisance , étaient le but et peu importait les moyens pour y parvenir .
Le mépris pour le peuple : idem évidemment ...
Et je sais que dans notre pays , sous Louix XV par exemple , il en était de même .
Alors les nostalgiques actuels de la monarchie me font gerber .... !
Ils s’imaginent quoi ?
Que devenir le gratin est enviable sous un angle civilisationnel ?
Combien de perdants , de miséreux , de pauvres , pour maintenir ces aristocrates , ces oisifs , et ces « élites » issues de l’église, dans l’opulence et l’aveuglement d’une pseudo supériorité . ?